• Chapitre 4 : mobilités, flux et réseaux de communication dans la mondialisation

    Chapitre 4 : mobilités, flux et réseaux de communication dans la mondialisation<o:p></o:p>

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    Mots-clés : <o:p></o:p>


    -        Inégalités des réseaux                                     <o:p></o:p>

    -        Axes de transports<o:p></o:p>

    -        Échanges<o:p></o:p>

    -        Internet<o:p></o:p>

    -        Autoroute<o:p></o:p>

    -        Transport maritime<o:p></o:p>

    -        Transport ferroviaire<o:p></o:p>

    -        Transport aérien<o:p></o:p>

    -        Transport routier<o:p></o:p>


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    A)  Étude de cas : l’aéroport de Roissy<o:p></o:p>

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    L’aéroport de Roissy- Charles de gaulle (CGD) est situé à 25 Km au Nord de paris. C’est un des trois aéroports parisiens avec Orly et le Bourget. Il est spécialisé dans les vols internationaux. Ces trois aéroports sont gérés par une même société : Aéroports de Paris.<o:p></o:p>

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    Question page 173 :<o:p></o:p>

    1)     5° aéroport mondial et 2° aéroport européen<o:p></o:p>

    2)     Lux de passagers et de marchandises<o:p></o:p>

    3)     L’Europe, l’Amérique du nord et les littoraux asiatiques, sud-américain et africains sont les régions le mieux desservies mondialement. Ce sont les pays de la triade, les pays francophones (DOM-TOM ; Ex-colonies)<o:p></o:p>

    4)     Association entre deux compagnies pour desservie le monde entier, campagne de publicité pour se faire connaître mondialement. Un hub est un carrefour où on accueille et on redistribue des passagers ou des marchandises (c’est une plaque tournante)<o:p></o:p>

    5)     Il y a une concurrence forte avec Londres, Francfort, Amsterdam<o:p></o:p>

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    Question page 175 :<o:p></o:p>

    1)     Les moyens de transport présent à Roissy sont le métro-interne, le RER, l’autoroute, les avions è Roissy est un hub, une plateforme multimodale<o:p></o:p>

    2)     80 000 salariés à l’aéroport, 20 000 à 30 000 emplois induits (hôtels, location de voiture) et 1er pôle emploi de la région île de France <o:p></o:p>

    3)      <o:p></o:p>

    Accessibilité<o:p></o:p>

    - les employés peuvent pas utiliser les transports en commun (horaire)<o:p></o:p>

    - autoroute saturée<o:p></o:p>

    - liaisons banlieue parisienne - aéroport<o:p></o:p>

    Nuisance<o:p></o:p>

    - pollution (décollage, voiture)<o:p></o:p>

    - sonores (décollages)<o:p></o:p>

    Solutions <o:p></o:p>

    - aéroport de paris è maison de l’environnement è concertation<o:p></o:p>

    - aéroport de paris è prise en charge de l’insonorisation<o:p></o:p>

    - métro spécial Roissy (2015)<o:p></o:p>

    - voie spéciale sur l’autoroute<o:p></o:p>

    - CDG Val<o:p></o:p>

     

    Capture d’écran 2012-07-02 à 19.09.52Capture d’écran 2012-07-02 à 19.10.03

    A)  des territoires inégalement connectés à l’Europe et au monde<o:p></o:p>

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    1)    des réseaux intérieurs performants malgré quelques faiblesses<o:p></o:p>

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    La France possède des infrastructures de transport et des réseaux de communication globalement performants :<o:p></o:p>

    -        accessibilité de tous les territoires en métropole (pas d’espace enclavé)<o:p></o:p>

    -        rapidité des transports (réseau de TGV le plus développé au monde)<o:p></o:p>

    -        capacité de transports satisfaisants<o:p></o:p>

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    Pourtant, tous les territoires ne bénéficient pas de la même « couverture », et n’ont pas tous le même accès aux réseaux :<o:p></o:p>

    -        à l’échelle nationale : le massif central est peu desservi par le haut débit et par le réseau ferroviaire et autoroutière. Le bassin parisien est un carrefour international. Le réseau est dense.<o:p></o:p>

    -        À l’échelle régionale : le croissant littoral orange-menton est très bien desservie, il possède un réseau dense mais l’arrière pays est un réseau lâche<o:p></o:p>

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    Les massifs montagneux (sauf les alpes du nord) et les territoires ultramarins constituent les « angles morts » du territoire national. Ils sont par conséquent mal insérés dans la mondialisation<o:p></o:p>

    À l’échelle régionale, beaucoup de territoires souffrent de l’ « effet tunnel » : ils sont traversés par de grands axes de transport, mais n’y ont pas accès<o:p></o:p>

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    À l’inverse des grandes villes, les grandes vallées (qui constituent des corridors naturels) et les littoraux bénéficient de réseaux et de « fenêtres » puissants : LGV, autoroutes, grands hubs portuaires et aéroportuaires<o:p></o:p>

    La région parisienne est particulièrement bien équipée : c’est la conséquence d’une longue centralisation, qui a généré la création d’un réseau en étoile autour de paris (sur l’ensemble du territoire, les radiales sont privilégiées, au détriment des transversales)<o:p></o:p>

    Ces espaces peuplés sont donc bien insérés dans la mondialisation<o:p></o:p>

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    Pour atténuer ces déséquilibres et assurer la continuité territoriale (relier les insulaires au continent) il faut investir dans la construction d’autoroute, d’antennes de téléphonie mobile, d’aéroports …<o:p></o:p>

    Mais les entreprises privées (ESCOTA) y renoncent souvent, faute de rentabilité<o:p></o:p>

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    L’état qui a de moins en moins de moyens tend lui aussi à se désengager au profit des collectivités locales et de l’UE<o:p></o:p>

    L’aménagement des territoires et donc leur compétitivité sont directement liés à ces investissements<o:p></o:p>

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    2)    Des flux mondialisés<o:p></o:p>

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    La mondialisation se caractérise par l’intensification des déplacements :<o:p></o:p>

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    -        de population :<o:p></o:p>

    Les déplacements intérieurs s’élèvent à 175 millions de personnes par jour en France. Ils concernent la vie quotidienne (travail, loisirs) et s’opèrent avant tout par la route (31 millions de voitures)<o:p></o:p>

    Les déplacements à l’étranger augmentent : par la route, le rail et surtout l’avion.<o:p></o:p>

    Des flux migratoires convergent et partent de France : flux d’immigrants (160 000 par an) flux d’émigrants (230 000 par an dont 170 000 retours) et surtout des flux touristiques (82 millions en 2010, la France étant la 1ère destination touristique du monde)<o:p></o:p>

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    -        de marchandises et de capitaux :<o:p></o:p>

    Nos réseaux sont de plus en plus parcourus par des transporteurs nationaux et étrangers, car la France occupe une position de carrefour en Europe (camions d’agrumes de l’Espagne vers la RFA)<o:p></o:p>

    Les flux de capitaux et d’informations (les « invisibles) circulent par câbles par ondes de manières (entreprise de télécommunication orange)<o:p></o:p>

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    Pour assurer les connexions avec l’étranger, il faut intégrer nos réseaux dans les réseaux européens et mondiaux :<o:p></o:p>

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    Ø  LGV françaises connectées aux LGV des pays limitrophes (ligne LGV Thalys) <o:p></o:p>

    Ø  Ouvrages d’art de grande ampleur réalisés (tunnel du mont-blanc ; tunnel sous la manche) ou en cours (tunnel ferroviaire sous les alpes pour la liaison Lyon-Turin)<o:p></o:p>

     

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