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Par lafandemusic1994 le 14 Août 2014 à 17:43
Introduction à la biochimie<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Biochimie = étude des substances et des procédés chimiques produit dans l’organisme vivant (espace vivant) qui en continuel renouvellement<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
L’étude des substances se fait par :<o:p></o:p>
- Identification<o:p></o:p>
- Localisation<o:p></o:p>
- Structure<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Tout ça se fait par des mécanismes réactionnels (réactions chimiques) qui sont nécessaires à la survie de la cellule.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La survie de la cellule se fait sur un tryptique :<o:p></o:p>
- Molécules de base<o:p></o:p>
- Energie<o:p></o:p>
- Mécanismes réactionneles<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
/ !\ il n’y a pas de réaction indépendantes<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
L’énergie et la matière sont à générer en même temps
L'énergie vient des nutriments (GPL ayant un haut poids moléculaire / macromolécules riche en énergie) qui vont se dégrader.<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
/ !\ La cellule ne gaspille rien (énergie / molécules)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Homéostasie è constance d’un concentration <o:p></o:p>
Si altération de l’homéostasie, il y a pathologie<o:p></o:p>
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Par lafandemusic1994 le 14 Août 2014 à 17:39
Bioénergétique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Énergie utile / libre : énergie pour réaliser un travail, c’est un échange il n’y a pas de perte.<o:p></o:p>
Énergie cellulaire : perte sus forme de chaleur.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
L’énergie est apportée par l’alimentation.<o:p></o:p>
La cellule est un système ouvert, c’est à dire qu’il y a un échange avec le milieu extérieur à pression et température constante.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
I) Couplage énergétique <o:p></o:p>
Il n’y a pas de réaction indépendante et aléatoire, il existe une voie métabolique.<o:p></o:p>
La réaction a toujours la même finalité<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La réaction a des contraintes énergétiques suivant les lois de la thermodynamique.<o:p></o:p>
Elles sont alors réparties lors du bilan final de la voie métabolique.<o:p></o:p>
Pour effectuer une réaction on doit atteindre un niveau d’énergie qui respecte les lois de la thermodynamique. <o:p></o:p>
Quand la variation d’énergie ou le niveau d’activation est trop important cela est incompatible avec la cellule è on utilise donc un catalyseur qui est une enzyme spécifique à la réaction è elle facilite la réaction en puisant un minimum d’énergie.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
On peut utiliser aussi le découplage réactionnel qui diminue les barrières énergétiques et empêche la dispersion d’énergie sous forme de chaleur.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Lors du catabolisme l’énergie libérée est capté et est transporté par l’ATP.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Il existe deux variations d’énergie quand on a une réaction : - cinétique : réalise un travail<o:p></o:p>
- potentielle : contenue dans une macromolécule<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
· Les lois de la thermodynamique<o:p></o:p>
L’énergie totale doit être constante<o:p></o:p>
L’entropie augmente, elle tend vers le désordre<o:p></o:p>
L’équation de Gibbs est alors modifié :<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
Si ΔG = 0 la réaction est fini<o:p></o:p>
Si ΔG ≠ 0 la réaction est en cours<o:p></o:p>
ΔG permet de dire le sens de la réaction : ΔG > 0 la réaction est endergonique / instable<o:p></o:p>
ΔG < 0 la réaction est exergonique / apport d’énergie<o:p></o:p>
La voie métabolique doit être exergonique.<o:p></o:p>
On calcule donc ΔG = ΔG0 + RT ln[B]/[A]<o:p></o:p>
Avec ΔG0 l’état standard pH = 0, T = 25°C, P = 1 atm et à 1 mol.L-1 è ce n’est pas possible dans la cellule sauf en cas d’oxydo-réduction)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
II) Type de réaction <o:p></o:p>
1) Réversible <o:p></o:p>
|ΔG| faible <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Irréversible<o:p></o:p>
|ΔG| important avec une quantité d’énergie quand A à B<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les réactions du type A à B à C à D à E sont réversibles et irréversibles (en amont).<o:p></o:p>
Cela permet de répondre aux contraintes énergétiques, de rendre A irréversible et de permettre à l’enzyme qui catalyse d’exercer sa fonction de régulation<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ainsi on a une barrière qui empêche la réaction de se faire spontanément è l’énergie d’activation.<o:p></o:p>
Exemple : Chauffage è Éther (Énergie d’activation faible) s’enflamme<o:p></o:p>
Sucre (Énergie d’activation important) a besoin de beaucoup de chaleur pour se dégrader<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Phosphorylation è Glucose ne peut pas sortir de la cellule et a un niveau énergétique élevé.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
On effectue alors un couplage réactionnel à l’hydrolyse : ATP à ADP + Pi<o:p></o:p>
L’ATP est une molécule à fort potentiel énergétique (ΔG = -31 kJ.mol-1). <o:p></o:p>
On apporte autant d’ATP que nécessaire pour une réaction<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
III) Étude d’une molécule à haut potentiel d’énergie (HPE)<o:p></o:p>
Dans chaque réaction il y a dispersion d’énergie (chaleur)<o:p></o:p>
La cellule est un espace ouvert qui travaille à état stationnaire pour survivre<o:p></o:p>
- Etat stationnaire : lutte contre l’entropie, la grandeur reste constante<o:p></o:p>
- Etat d’équilibre : mort cellulaire<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Loi de Lechatelier = loi d’action de masse è quand il y a augmentation de A il y a augmentation de E<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Il n’y a pas de dégradation, pas de création mais il y a transformation.<o:p></o:p>
Une voie métabolique peut être inversée<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Liaison HPE<o:p></o:p>
Liaison phosphoanhydre<o:p></o:p>
Quand est hydrolysé : libère beaucoup d’énergie<o:p></o:p>
ATP en possède 2<o:p></o:p>
Liaison thioester<o:p></o:p>
Fixation d’un COOH sur un SH du CoA<o:p></o:p>
Hydrolyse les AG<o:p></o:p>
Liaison amidine phosphate<o:p></o:p>
Créatine sous forme phosphorylé<o:p></o:p>
Liaison enol-phosphate<o:p></o:p>
-60 kJ è c’est la molécule la plus énergétique<o:p></o:p>
elle est présente dans la dernière étape de la glycolyse<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) L’ATP<o:p></o:p>
C’est un transporteur universel d’énergie<o:p></o:p>
Il est présent dans toutes les cellules (75g/jour pour 45kg)<o:p></o:p>
3 liaisons : 2 phosphoanhydre (β et γ) et 1 phosphoester (α)<o:p></o:p>
Il y a un turn over è création de 10 ATP pour 1 ADP<o:p></o:p>
C’est une moléucle instable qui a 4 charges - è tend vers vers la stabilité par hydrolyse<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
/ !\ l’ADP ne donne jamais d’énergie par hydrolyse<o:p></o:p>
L’AMP relié à un sucre par une liaison thioester est une molécule HPE<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
· La synthèse d’ATP<o:p></o:p>
Rephosphorylation de l’AMP et de l’ADP<o:p></o:p>
Transfert du phosphate de la GTP sur ADP <o:p></o:p>
Oxydation phosphorylante<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Phosphorylation liée au substrat<o:p></o:p>
Dans les cellules exprimant la créatine phosphokinase<o:p></o:p>
Adénylate kinase<o:p></o:p>
Dans le muscle strié<o:p></o:p>
Turn over<o:p></o:p>
Molécule considérée comme HPE quand E > 31kJè transfert vers ATP<o:p></o:p>
à Transfert phosphate sur substrat<o:p></o:p>
à Hydrolyse phosphate : non nécessaire à la réaction<o:p></o:p>
SCHEMA<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
IV) Voie anaérobie alactique (molécules impliqués)<o:p></o:p>
1) Créatine phosphate<o:p></o:p>
- Réserve la plus mobilisable des muscles (provient de l’ATP mitochondrial qui régénère l’énergie de l’ATP cytoplasmique)<o:p></o:p>
- Structure è synthétisé à partir des AA puis transféré à l’ATP<o:p></o:p>
- État basal è la cellule a teminé son travail et reconstitué ses réserves (niveau énergétique créatine > créatine P)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
CPK créatine phosphokinase (catalyse les réactions irréversibles)<o:p></o:p>
· CPK-2 (dimère)<o:p></o:p>
- soluble dans le cytosol et dans l’espace inter-membranaire<o:p></o:p>
- présente lors de l’effort (déphosphorylation)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
· CPK-8 (octamère)<o:p></o:p>
- phosphorylation lors du repos è reconstitue réserve énergétique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
* durant le travail <o:p></o:p>
consomme ATP è CPK-2 dans cytosol<o:p></o:p>
SCHEMA<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
* quand travail terminé<o:p></o:p>
pas de consomation d’ATP è CPK-8 dans membrane inter-mitochondriale<o:p></o:p>
SCHEMA<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Adénylate kinase / Myokinase<o:p></o:p>
*Dans cytosol<o:p></o:p>
SCHEMA<o:p></o:p>
MK et CPK sont utilisé dans des voies métaboliques courtes en anaérobie<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Début effort<o:p></o:p>
Récupération<o:p></o:p>
Substrat<o:p></o:p>
ADP – Créatine P<o:p></o:p>
ATP – AMP – Créatine<o:p></o:p>
Produit<o:p></o:p>
ATP – AMP - Créatine<o:p></o:p>
ADP – Créatine P<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
*Détails<o:p></o:p>
L’ATP atteint 0% en 1 minute<o:p></o:p>
La voie anaérobie alactique est rapide pour crée de l’ATP à partir de créatine P<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Créatine P + 3 ADP + H+ ó Créatine + 2 ATP + AMP<o:p></o:p>
/ !\ AMP et Ca2+ sont des médiateurs<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
V) Potentiel redox<o:p></o:p>
L’oxydation est la perte d’un électron ou d’un H+ è l’élément est réducteur è il s’oxyde<o:p></o:p>
La réduction est le gain d’un électron ou d’un H+ è l’élément est oxydant è il se réduit<o:p></o:p>
AH2 è A + 2H+ + 2e<o:p></o:p>
B + 2H+ + 2e è BH2<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Au niveau de la CRM et PO (phosphorylation oxydative) il y a transfert d’électron<o:p></o:p>
FADH2 è 2 ATP<o:p></o:p>
NADH è 3 ATP<o:p></o:p>
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Par lafandemusic1994 le 14 Août 2014 à 17:21
Glucides<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Oses<o:p></o:p>
Monosaccharides<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Holosides <o:p></o:p>
Disaccharides (2)<o:p></o:p>
Polysaccharides (<10)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Hétérosides <o:p></o:p>
Glycoprotéines<o:p></o:p>
Glycolipides<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
- Composé de 3 à 7 carbones<o:p></o:p>
- Caractère hydrophile<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Les fonctions<o:p></o:p>
- Apport énergétique<o:p></o:p>
- Stockage sous forme de glycogène dans le foie / muscle<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Classification<o:p></o:p>
- La longueur de la chaine carbonée :<o:p></o:p>
3C : triose<o:p></o:p>
4C : tétrose<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
5C : pentose<o:p></o:p>
6C : hexose<o:p></o:p>
- 2 fonctions possibles : aldéhyde (préfixe : aldo)<o:p></o:p>
Cétone (préfixe : céto)<o:p></o:p>
- Le reste porte OH et H<o:p></o:p>
Ex : Glucose è aldohexose<o:p></o:p>
Fructose è cétohexose<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
I) Les aldoses (3C minimum)<o:p></o:p>
C1 : Fonction aldéhyde<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
C2 : Carbone asymétrique (énantiomères)<o:p></o:p>
2 séries : L = OH à droite la majorité des sucres de l’organismes sont L<o:p></o:p>
D = OH à gauche <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
II) Les cétoses (4C minimum)<o:p></o:p>
C2 : Fonction cétone <o:p></o:p>
C3 : Carbone asymétrique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
III) Filiation<o:p></o:p>
Quand on ajoute un carbone on rallonge la chaine carbonée<o:p></o:p>
- Isomères : même formule brute mais structure différente<o:p></o:p>
- Isomères de fonction : même formule brute mais fonction différente<o:p></o:p>
- Énantiomères : pas superposables, change d’orientation au premier carbone asymétrique (série D/L)<o:p></o:p>
- Epimères (linéaire) : même formule brute, série, orientation différente d’un seul carbone<o:p></o:p>
- Anomères (cyclisation) : même formule brute, diffère de la position du OH du carbone anomérique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
IV) Cyclisation des glucides<o:p></o:p>
- Niveau énergétique le plus bas à se cyclise (perd la fonction aldéhyde pour une fonction hydroxyle)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pyrane <o:p></o:p>
6 côtés (5C et O)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Furane<o:p></o:p>
5 côtés (4C et O)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Carbone asymétrique suivant la position de son OH peut-être α (au dessous du plan) ou β (au dessus du plan)<o:p></o:p>
Les deux anomères n’ont pas les mêmes propriétés<o:p></o:p>
Pour passer d’un anomère à l’autre on fait une maturotation en passant par la forme linéaire<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Pyrane (5C)<o:p></o:p>
Carbone anomérique en position 1 <o:p></o:p>
Fonction OH du C5 forme un pont<o:p></o:p>
En structure chaise : si le OH du C1 est en bas è α (HPE, pas stable, configuration trans)<o:p></o:p>
Si le OH du C1 est en haut è β (FPE, plus stable, configuration cis)<o:p></o:p>
On a plus de β qua de α dans l’organisme<o:p></o:p>
Il existe 3 formes en même temps (2 cyclique et une linéaire), seule la linéaire est active <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Furane (4C)<o:p></o:p>
2 anomères α et β en C2<o:p></o:p>
C’est une forme moins stable que le pyruvate<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3) Propriétés du carbone anomérique<o:p></o:p>
Type de réactions<o:p></o:p>
Amination<o:p></o:p>
Liaison N-glycosidique<o:p></o:p>
Vis à vis d’un groupement hydroxyle<o:p></o:p>
Liaison O-glycosidique (création d’un polymères de monosaccharides)<o:p></o:p>
Vis à vis de l’acide phosphorique<o:p></o:p>
Élève le niveau énergétique / active le sucre<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Isomérisation<o:p></o:p>
Isomère de fonction<o:p></o:p>
Épimérisation<o:p></o:p>
Même formule développé mais OH diffère<o:p></o:p>
Estérification<o:p></o:p>
Fixation d’un groupement phosphate<o:p></o:p>
Acidification des sucres par oxydation<o:p></o:p>
OH en C6<o:p></o:p>
Formation d’une pseudo cétone<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Rupture du cycle pyrane<o:p></o:p>
Réduction fonction aldéhyde<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
V) Liaisons osidiques<o:p></o:p>
C’est le ciment de la polymérisation des mono et polysaccharides<o:p></o:p>
Ces liaisons impliquent toujours un carbone anomérique et une des fonctions hydroxyles de l’autre sucre (sauf celui qui est impliqué dans la cyclisation)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Liaison glycosidique è diholoside + H20<o:p></o:p>
Les aldoses ont un pouvoir oxydant quand ils sont linéaire (la liqueur de Fehling linéarise les aldoses)<o:p></o:p>
Certains cétoses après énolisation deviennent oxydants<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pour qu’un polysaccharide soit dit réducteur il faut qu’un de ces carbones anomériques soit libre<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
VI) Les disaccharides<o:p></o:p>
1) Diholosides non réducteurs<o:p></o:p>
- Implique les carbones anomériques de chaque ose è pas de pouvoir réducteur<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Diholosides réducteurs<o:p></o:p>
- Engage un seul carbone anomérique è garde les capacités réductrices<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3) Les différents disaccharides<o:p></o:p>
Maltose<o:p></o:p>
2 glucose<o:p></o:p>
Liaison α(1à4)<o:p></o:p>
Peut être hydrolysé<o:p></o:p>
Isomaltose<o:p></o:p>
2 glucose<o:p></o:p>
Liaison α(1à6)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Cellobiose<o:p></o:p>
2 glucose<o:p></o:p>
Liaison β(1à4)<o:p></o:p>
Rejeté<o:p></o:p>
Lactose<o:p></o:p>
Galactose-Glucose<o:p></o:p>
Liaison β(1à4)<o:p></o:p>
Intolérance (cause : déficit enzyme lactase)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
/ !\ deux anomères (1 métabolisé / 1 rejeté) è oblige à avoir le conformation optimale <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
VII) Les polysaccharides<o:p></o:p>
- Ils peuvent être linéaires (toujours le même type de liaison) ou branchés/ramifiés (permet de condenser).<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Les homopolysaccharides<o:p></o:p>
→ Amidon (forme de stockage du glucose chez les végétaux)<o:p></o:p>
- L’amidon peut être ramifié par le biais de liaisons α(1→6) ou non avec uniquement des liaisons α(1→4).<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
→ Glycogène (forme de stockage du glucose dans les cellules hépatiques et musculaires)<o:p></o:p>
- Présence de liaisons α(1→4) et α(1→6), support de la ramification.<o:p></o:p>
- Organisé de façon à ne laisser qu’une seule extrémité réductrice, située au niveau du C initial.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Les hétéropolysaccharides<o:p></o:p>
- Polymérisation de monosaccharides et d’entités non glucidiques<o:p></o:p>
- Possède plusieurs fonctions : Mise en place des structures tridimensionnels protéique<o:p></o:p>
Protection des protéines<o:p></o:p>
Interaction cellule-cellule quand partie protéique<o:p></o:p>
Spécificité expérience cible antigénique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3) Glycoprotéines (Gp)<o:p></o:p>
- Fixation de résidus glucosidiques sur les protéines post-traductionnelles participant à la fonction finale.<o:p></o:p>
- Structure : glucosamine et galactosamine + acide N-acétylneuraminique conférant son acidité à la Gp.<o:p></o:p>
- Les cupules glucidiques sont importantes et leurs fonctions biologiques sont variées (ex : protection des cellules lorsque les protéases sont déversées sur le bol alimentaire).<o:p></o:p>
- Deux types d’association des cupules glucidiques sur les protéines :<o:p></o:p>
→ Gp de type N-glycosylée si la cupule glucidique est fixée via une asparagine sur la fonction amine de la protéine avec un carbone anomérique.<o:p></o:p>
→ Gp de type O-glycosylée si la cupule glucidique est fixée sur des sérines ou thréonines par le biais des OH avec un carbone anomérique.<o:p></o:p>
è La glycolisation et la cupule glucidique se font en dehors du cytosol<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
4) Glycolipides<o:p></o:p>
- Hétéropolysaccharides dont la cupule glucidique qui se fixe au lipide peut être un monosaccharide ou une structure plus complexe.<o:p></o:p>
è Localisation sur la membrane externe plasmique (beaucoup de tissu nerveux)<o:p></o:p>
Si sucre simple<o:p></o:p>
Cérébrosides<o:p></o:p>
Glucocérébrosides<o:p></o:p>
Galactocérébrosides<o:p></o:p>
Si sucre complexe<o:p></o:p>
Gangliosides<o:p></o:p>
Glucose<o:p></o:p>
Galactose<o:p></o:p>
Sucre avec N-acétyl<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
5) Protéoglycanes<o:p></o:p>
- Résultat d’une hétéropolymérisation (glucose oxydé + N-acétyl glucosamine)<o:p></o:p>
è Membrane basale permet communication dan la cellule<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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Par lafandemusic1994 le 14 Août 2014 à 17:14
Les lipides<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
- 15% dans l’organisme
- Essentiellement hydrophobes è totalement ou avec tête hydrophile
- Répond aux contraintes du milieu biologique è mise en place d’un bicouche lipidique (partie hydrophobe au cœur de la bicouche)
Cette bicouche lipidique peut être sous deux formes : è Micelles (fonction détergente)
è Liposomes (membrane plasmique)
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
I) Propriétés des lipides<o:p></o:p>
- Structure apolaire (TG) / bipolaire (AG)
- Fonction : - source d’énergie
- structure des membranes
- rôles biologiques
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
II) Classification<o:p></o:p>
1) Les lipides simples<o:p></o:p>
- AG : molécules bipolaires, chaine aliphatique saturé ou non terminé par un COOH
- Glycérides : alcool + AG par liaison ester
- Cérides : /
- Stéroïdes : base des hormones / non glycéride polycyclique
<o:p> </o:p>
2) Les lipides complexes<o:p></o:p>
- Glycérophospholipide : atome de phosphate + glycérol + AG
- Sphingolipide phosphaté : sphongosine + phosphate + AG
- Sphingolipide non phosphaté : sphingosine + ose + AG
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
III) Les lipides simples<o:p></o:p>
1) Les acides gras (AG)<o:p></o:p>
· Structure
Acide carboxylique en fin de chaine aliphatique (22C maximum)
Chaine aliphatique saturé (liaison simple) ou insaturés (double liaisons 6 maximum en configuration cis)
<o:p> </o:p>
· Nomenclature
- Nombre de C
- Suffixe -oïque
- Entre les deux : Si saturé : an
Si insaturé : en
<o:p> </o:p>
a) AG mono-insaturés<o:p></o:p>
- Spécifie le nombre de C C ..
- 1 pour le nombre de double liaison 1
- Le numéro du C de la double liaison (..C) à compter à partir de l’acide carboxylique<o:p></o:p>
Exemple : C18 :1(9C)<o:p></o:p>
b) AG polyinsaturés<o:p></o:p>
Structure malonique : 3 carbones entre chaque doubles liaisons (en configuration cis)
- Spécifie le nombre de C
- Le nombre de double liaison
- Δ+n° des doubles liaisons ou (n° des carbones)
Exemple : C18 :3(Δ9,12,15) ou C18 :3(9C,12C,15C)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
· Biosynthèse
AG saturés è Désaturase (enzyme) è AG insaturés
Les désaturases sont des enzymes de désaturation des AG
Il en existe une pour chaque insaturation è dans le monde animal n’existe que celles désaturant Δ9 et les précédentes.
Elles ne peuvent agir q’une seule fois par AG et dans l’ordre d’apparition en partant du COOH
<o:p> </o:p>
· Les indispensables (proviennent de l’alimentation)
Structure oméga : compte le nombre de double liaison en partant de N-terminal
<o:p> </o:p>
o Oméga 6 (AG de base indispensable)
2 doubles liaisons (C6 à partir de l’extrémité)
<o:p> </o:p>
o Oméga 3 (AG de base indispensable)
3 doubles liaisons (C3 à partir de l’extrémité)
<o:p> </o:p>
2) Les non glycérides<o:p></o:p>
a) Les cérides<o:p></o:p>
On n’en parle pas dans ce cours
<o:p> </o:p>
b) Les stérides<o:p></o:p>
Noyau stérane : alcool + noyau polycyclique de 17C (en structure plane et rigide)
Noyau polycyclique = 3 cycles à 6C (ABC) et 1 cycle à 5C (D)
<o:p> </o:p>
Stéride : estérification AG sur alcool du stérol
è Ramification aliphatique sur C17 : - Stérols
- Acide et sels biliaires
- Stéroïdes hormonaux
<o:p> </o:p>
· Type de modification : - un ou plusieurs groupements hydroxyles
- une ou plusieurs doubles liaisons sur A et B
- ramification sur C17
<o:p> </o:p>
Dérivés des stérols<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
a. Cholestérol<o:p></o:p>
- Stérol animal présent dans structure membranaire
- Précurseur : hormone, vitamine D
- OH en C3
- Double liaison en C5-C6
- Ramification importante
- Conserve fluidité de la memebrane biologique (déplacement protéine et molécules hydrophobe dans la bicouche lipidique)
<o:p> </o:p>
b. Acides biliaires<o:p></o:p>
- 3 groupements OH + COOH à la fin de la ramification en C17 (Amphiphile)
- Synthétisé par le foie, concentré dans la bille è digestion enzymatique (lipase) / élimination
- Formation en micelle è solubilisation des lipides
<o:p> </o:p>
c. Hormones stéroïdiennes<o:p></o:p>
- dérivé du cholestérol
- Ramification en C3 et C17
- Double liaison soit sur A ou sur B
<o:p> </o:p>
3) Les glycérides<o:p></o:p>
Triglycéride è stockage des AG è totalement hydrophobes è permet estérification d’un glycérol par 3AG (trialcool)
Il encapsule les lipoprotéines pour se déplacer
Il existe deux type de TG : - Simple è 3 AG identique (rare)
- Mixte è AG différent
Insaturation en G2 du glycérol
<o:p> </o:p>
IV) Les lipides complexes<o:p></o:p>
- Mise en place de la membrane biologique
- Hétérolipides
<o:p> </o:p>
1) Les phospholipides (groupement phosphate)<o:p></o:p>
a) Glycérophospholipide<o:p></o:p>
· Structure : glycérol + 2 AG + acide phosphorique è acide phosphatique
à donne les précursuers des glycérophospholipide
Glycérophospholipide = acide phosphatique + alcool
<o:p> </o:p>
Il existe 5 type de glycérophospholipide :
Feuillet interne è fonction de structure / biologique
Sérine
Phosphatidylsérine
<o:p> </o:p>
Éthanolamine
Phosphatidyléthanolamine
Feuillet externe
Choline
Phosphatidylcholine
<o:p> </o:p>
Glycérol
Phosphatidylglycérol
Feuillet interne
Myo-inositiol
Phosphatidylinositol
<o:p> </o:p>
· Bicouche lipidique
2 couches amphiphiles ==W chaine aliphatique hydrophobes au centre
Les têtes glycérophospholipides sont hydrophiles dans le milieu biologique
Les résultats des contraintes hydrophiles-hydrophobes donnent une stabilité
<o:p> </o:p>
Si par réaction enzymatique on enlève la chaine aliphatique 1 ou 2, on obtient une structure lyso-phospholipide (détergent en micelle) è perte de la sélectivité de la perméabilité membranaire.
<o:p> </o:p>
· Phospholipases
Ce sont des enzymes de dégradation des phospholipides et donne des lyso-phospholipides
PLA1 (AG saturé) / PLA2 (AG insaturé)
Dégradation des AG
PLC
Libère diacylglycérol + dérivé phosphorylé
PLD
Libère acide phosphatique + un alcool
L’hydrolyse permet la synthèse de médiateur lipidique
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
b) Sphingophospholipide<o:p></o:p>
- Composant essentiel des membranes biologique
- Structure : Sphingosine + AG è céramide
La céramide est un précurseur des sphingophospholipides
La sphingosine est une chaine aliphatique insaturé en C1 (hydroxyle è porte soit un glucide, alcool phosphorylé), C2 (amine), C3 (hydroxyle)
On obtient donc 4 classes de sphingophospholipides
<o:p> </o:p>
2) Les glycolipides (sphingosine non phosphaté)<o:p></o:p>
- Se trouve dans le tissu nerveux
- La tête est fortement hydophile avec des liaisons glucosidiques avec CH du C1
- La structure est une céramide mais absence de groupement phosphate
- Présent à l’extérieur de la membrane plasmique è cupule glucidique n’a pas de contact avec le cytosol
- 2 classes : - Glucose : membrane plasmique
- Galactose : tissu nerveux
- Fonction : interaction cellulaire / croissance + développement + expansion site antigénique
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Par lafandemusic1994 le 14 Août 2014 à 13:19
Les méthodes de séparation d’une protéine<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
I) Électrophorèse<o:p></o:p>
- Séparation selon la masse moléculaire avec un gel de polyacrylamide caractérisé par la réticulation (maillage)<o:p></o:p>
- Protéines migrent du haut vers le bas (plus une molécule est grosse moins elle migre)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Neutralisation des charges è pré-électrophorèse<o:p></o:p>
Casse toutes les liaisons (seule structure primaire reste)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Dénaturation protéique<o:p></o:p>
Rend toutes les protéines négatives grâce à :<o:p></o:p>
- un mélange de β-mercaptoethanol avec une protéine pour casser le pont disulfure<o:p></o:p>
- chauffage<o:p></o:p>
- ajout de SDS (détergent amphiphiles) rend toutes les protéines négatives<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3) Identification des protéines<o:p></o:p>
On utilise des marqueurs dont on connaît le poids moléculaire<o:p></o:p>
On les colore avec du bleu de coomassie qui se fixe sur les résidus aromatiques<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Immunogéinité (création d’anticorps contre la protéine) è Western blot<o:p></o:p>
- Sors protéine du gel grâce à un champ électrique sur membrane hydrophobe <o:p></o:p>
- Fixe protéine sur la partie basse de l’anticorps (sans modifier le rôle de l’anticorps) <o:p></o:p>
- Fixation de l’anticorps coloré dirigé contre l’anticorps fixant la protéine<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
4) Électrophorèse bidimensionnelle<o:p></o:p>
Utilise la charge et la masse moléculaire<o:p></o:p>
- Focalisation isoélectrique : sépare les molécules selon le pH de la forme zwitterrionique <o:p></o:p>
Quand charge nette = 0 il n’y a plus de migration<o:p></o:p>
Si pH alcalin (négative) / pH acide (positive)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
II) Chromatographie<o:p></o:p>
1) Exclusion d’un gel<o:p></o:p>
Séparation par la taille è bille poreuse capture petit poids moléculaire<o:p></o:p>
Plus la molécule est grosse plus elle descend<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Échangeurs d’ion<o:p></o:p>
Séparateur par charge nette (utilisation de NaCl)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
III) Spectrométrie de masse<o:p></o:p>
Protéine ionisée par laser provoque un déplacement ± rapide dans un canon<o:p></o:p>
Les plus légers arrivent en premier sur la cellule de détection<o:p></o:p>
C’est une technique complémentaire à l’électrophorèse bidimensionnelle<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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