• L.A Anouilh Antigone

    Anouilh<o:p></o:p>

    Antigone<o:p></o:p>

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    I.    Introduction<o:p></o:p>

    1)  Situation<o:p></o:p>

    a)  Les contextes <o:p></o:p>

    La littéraire du 20° siècle est marqué par le contexte historique è perturbé è l’Europe est bouleversé par les deux guerres mondiales ; montée en puissance des régimes totalitaire ; tensions diverses et variés è situations de doute sur l’homme et sur l’humanisme è siècle qui débouche sur une vision très sombre.<o:p></o:p>

    Contexte littéraire è pessimisme général è remise en question de l’homme : les qualités fondamentales de l’homme et débouche sur un dimension tragique de l’homme è perte des repères è existentialisme, absurde è engagement presque systématique è poèmes et théâtre à thèses se généralise è écrivain se sent  coresponsable de la situation et de la responsabilité des soutient è doute absurde absence de solution ou de réponse è interrogation sur la condition humaine<o:p></o:p>

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    b)  Biographie <o:p></o:p>

    Jean Anouilh est né en 1910 à Bordeaux .Son père est tailleur et sa mère musicienne ainsi que professeur de piano, elle joue dans un orchestre se produisant sur des scènes de casino en province. <o:p></o:p>

    Jean Anouilh vit à Paris et rentre au collège Chaptal. Ensuite il fait des  études de droit à Paris, puis travaille dans la publicité<o:p></o:p>

    C'est très tôt que commence  sa  passion pour le théâtre. En 1928, il assiste à la représentation de Siegfried de Jean Giraudoux (dramaturge), et en 1928 il rencontre Louis Jouvet qui ensuite Anouilh deviendra son le secrétaire et il rencontra le comédien Jean Cocteau <o:p></o:p>

    Il se marie en 1931 avec l'actrice Monelle Valentin.<o:p></o:p>

    En 1953, Jean Anouilh divorça de Monelle Valentin et épousa Nicole Lançon, une autre comédienne dont le nom de scène était Charlotte Chardon. <o:p></o:p>

    Il décède le 3 octobre 1987<o:p></o:p>

    Un dramaturge et une personne qui écrit des drames, des pièces de théâtre<o:p></o:p>

    En 45 ans de théâtre  Anouilh écrit une cinquantaine de pièces Jean Anouilh a classé la majeure partie de son œuvre en : pièces noires, pièces roses, pièces brillantes, pièces grinçantes, pièces costumées, pièces baroques, pièces secrètes et pièces farceuses.<o:p></o:p>

    La pièce Antigone et classe dans les pièces noires<o:p></o:p>

    Antigone de Jean Anouilh écrite sous l’Occupation, créée en février 1944 à Paris et publiée en 1946.<o:p></o:p>

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    c)   L’œuvre <o:p></o:p>

    Antigone est une héroïne = être appelé à vivre un destin hors du commun<o:p></o:p>

    C’est un personnage de très grande valeur morale, avec des qualités de courage, de dévouement, un esprit de sacrifice, et un coté intransigeant<o:p></o:p>

    Le mythe d’Oedipe et d’Antigone et comme le mythe de Phèdre et de Thésée ils mettent en scène la vision de la condition humaine et un mélange d’affaire de famille et d’affaire d’état. Mais il y a des obstacles extérieurs et personnels ce qui provoque un huit clos familial ; il faut faire cohabiter des passions contraires de la tragédie.<o:p></o:p>

    La famille d’Antigone est maudite : cruauté + paroxysme de l’émotion èpour être exemplaire une scène de théâtre soit être amplifiée et stylisée<o:p></o:p>

    Le temps des légendes favorise la montée du tragique : éloignement de l’espace intensifie le contexte tragique<o:p></o:p>

    Antigone incarne la révolte è Anouilh est fidèle au mythe ancien de Sophocle où elle enterre son frère malgré l’interdiction de Créon par respect pour les lois religieuses, qui sont plus fortes que les lois écrites<o:p></o:p>

    Alors qu’Antigone d’Anouilh obéit à un schéma plus moderniste, la pièce est écrite pendant la guerre, Antigone représente la résistance et Créon le France collaboratrice (juste hypothèse mais si c’est vrai, Créon devrait être profondément antipathique, et ce n’est pas le cas)<o:p></o:p>

    Chez Sophocle Créon est un individu froid incarnant le pouvoir et l’autorité. <o:p></o:p>

    Chez Anouilh, c’est un personnage complexe : il est profondément humain (aucun problème religieux)<o:p></o:p>

    Antigone d’Anouilh a découvert l’absurde et se révolte contre ce monde qui lui a volé ses rêves, son idéal, et elle s’en prend donc à Créon, qu’elle rend responsable de tout. Elle est perdue, et elle enterre son frère pour elle-même, c’est la seule manière qu’elle a trouvée pour exister. Elle voulait un vrai bonheur, une belle vie, un grand amour, mais la vie l’a rattrapée : bêtise de ses frères…<o:p></o:p>

    Il ne lui reste donc que ses rêves, qui ne sont pas compatible avec son quotidien<o:p></o:p>

    Deux choix sont proposés à elle<o:p></o:p>

    - elle sacrifie ses rêves<o:p></o:p>

    - elle se retire du quotidien<o:p></o:p>

    Ces actes sont inutiles : mais c’est une question de provocation orgueilleuse, elle veut se suicider et elle le fait avec panache : elle n’a aucune envie de grandir, de murir. Elle va même accélérer le système pour éviter d’être sauvée par Créon. Elle le méprise, et il accepte tout car il la comprend, car il a été comme elle 30-40 ans auparavant. Elle organise sa propre mort car elle ne peut pas imaginer vivre dans ce monde : horreur de sa situation familiale, laideur morale de la lâcheté, des concessions, tout ce qu’elle appelle « cuisine »<o:p></o:p>

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    Révolte dans la notion de la parole<o:p></o:p>

    Le petit bonheur dont Antigone est parfaitement incapable è image comparaison particulièrement dépréciative ; monde des adultes la dégoute ; fausse sagesse è sagesse de l’impuissance elle est au dessus de cela è coté pur et intransigeant de la jeunesse idéaliste ; « vivant » « étranger » confrontation vie/mort. <o:p></o:p>

    La critique de l’espoir et le rythme ternaire dévalue l’espoir<o:p></o:p>

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    2)  Lecture<o:p></o:p>

    3)  Plan<o:p></o:p>

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    I)              « Les avatars du mythe »<o:p></o:p>

    Le lexique héroïque et les avatars du mythe<o:p></o:p>

    - Le chant de la lutte<o:p></o:p>

    - Deux protagonistes modernes face à face<o:p></o:p>

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    II)            « Le refus du bonheur »<o:p></o:p>

    - Un dialogue argumentatif violent<o:p></o:p>

    - Les tentatives de Créon pour persuader Antigone au nom du bonheur<o:p></o:p>

    - Refus et mépris d’Antigone avec les images particulièrement péjoratives et méprisantes<o:p></o:p>

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    III)          « Une héroïne tragique » et moderne<o:p></o:p>

    - La modernisation du mythe<o:p></o:p>

    - Le triomphe tragique de l’absurde<o:p></o:p>

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    II. Conclusion<o:p></o:p>

    Reprendre tout ce qu’on a dit sur le tragique en cours général + effet des didascalies sur le public<o:p></o:p>

    Antigone le pousse à bout « cuisiner »<o:p></o:p>

    Dialogue dont dépend le reste de la pièce<o:p></o:p>

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