• T.C Gary – Camus – Claudel

    Gary – Camus – Claudel<o:p></o:p>

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    Tous écrit après la seconde guerre mondiale avec un sentiment d’absurde du tragique devant la vision de l’homme et du monde.

    Ils ont tous la même impuissance à l’égard de la fatalité : dimension tragique dans l’ensemble du corpus avec une absence de verbe d’action, de forme passive qui marque l’impuissance

    Camus è thème de la mort

    Gary è thème de la maladie quasi proche de la mort de la mère du narrateur

    Claudel è mort de l’attachement à un pays, départ, exil è Linh doit partir pour toujours è sentiment de fatalité

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    Le personnage n’est pas désespéré mais est conduit face au risque de mort de la mère et cherche donc à transformer le désespoir en action, il va essayer de se dépasser pour ne pas laisser passer l’intolérable (qui à la fin de la peste permet à Rieux d’écrire contre l’intolérable de la peste), on peut donc exorciser par l’écriture les limites de l’intolérable parce qu’on ne peut rien faire de concret è domination de l’absurde et de la fatalité car on ne maitrise pas les épreuves extérieures car elle caractérise les personnages du XX° siècle è le héros idéalisé disparaît contre monsieur tout le monde


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