• Chapitre 4 : mobilités, flux et réseaux de communication dans la mondialisation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mots-clés : <o:p></o:p>


    -        Inégalités des réseaux                                     <o:p></o:p>

    -        Axes de transports<o:p></o:p>

    -        Échanges<o:p></o:p>

    -        Internet<o:p></o:p>

    -        Autoroute<o:p></o:p>

    -        Transport maritime<o:p></o:p>

    -        Transport ferroviaire<o:p></o:p>

    -        Transport aérien<o:p></o:p>

    -        Transport routier<o:p></o:p>


    <o:p> </o:p>

    A)  Étude de cas : l’aéroport de Roissy<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’aéroport de Roissy- Charles de gaulle (CGD) est situé à 25 Km au Nord de paris. C’est un des trois aéroports parisiens avec Orly et le Bourget. Il est spécialisé dans les vols internationaux. Ces trois aéroports sont gérés par une même société : Aéroports de Paris.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Question page 173 :<o:p></o:p>

    1)     5° aéroport mondial et 2° aéroport européen<o:p></o:p>

    2)     Lux de passagers et de marchandises<o:p></o:p>

    3)     L’Europe, l’Amérique du nord et les littoraux asiatiques, sud-américain et africains sont les régions le mieux desservies mondialement. Ce sont les pays de la triade, les pays francophones (DOM-TOM ; Ex-colonies)<o:p></o:p>

    4)     Association entre deux compagnies pour desservie le monde entier, campagne de publicité pour se faire connaître mondialement. Un hub est un carrefour où on accueille et on redistribue des passagers ou des marchandises (c’est une plaque tournante)<o:p></o:p>

    5)     Il y a une concurrence forte avec Londres, Francfort, Amsterdam<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Question page 175 :<o:p></o:p>

    1)     Les moyens de transport présent à Roissy sont le métro-interne, le RER, l’autoroute, les avions è Roissy est un hub, une plateforme multimodale<o:p></o:p>

    2)     80 000 salariés à l’aéroport, 20 000 à 30 000 emplois induits (hôtels, location de voiture) et 1er pôle emploi de la région île de France <o:p></o:p>

    3)      <o:p></o:p>

    Accessibilité<o:p></o:p>

    - les employés peuvent pas utiliser les transports en commun (horaire)<o:p></o:p>

    - autoroute saturée<o:p></o:p>

    - liaisons banlieue parisienne - aéroport<o:p></o:p>

    Nuisance<o:p></o:p>

    - pollution (décollage, voiture)<o:p></o:p>

    - sonores (décollages)<o:p></o:p>

    Solutions <o:p></o:p>

    - aéroport de paris è maison de l’environnement è concertation<o:p></o:p>

    - aéroport de paris è prise en charge de l’insonorisation<o:p></o:p>

    - métro spécial Roissy (2015)<o:p></o:p>

    - voie spéciale sur l’autoroute<o:p></o:p>

    - CDG Val<o:p></o:p>

     

    Capture d’écran 2012-07-02 à 19.09.52Capture d’écran 2012-07-02 à 19.10.03

    A)  des territoires inégalement connectés à l’Europe et au monde<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1)    des réseaux intérieurs performants malgré quelques faiblesses<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La France possède des infrastructures de transport et des réseaux de communication globalement performants :<o:p></o:p>

    -        accessibilité de tous les territoires en métropole (pas d’espace enclavé)<o:p></o:p>

    -        rapidité des transports (réseau de TGV le plus développé au monde)<o:p></o:p>

    -        capacité de transports satisfaisants<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pourtant, tous les territoires ne bénéficient pas de la même « couverture », et n’ont pas tous le même accès aux réseaux :<o:p></o:p>

    -        à l’échelle nationale : le massif central est peu desservi par le haut débit et par le réseau ferroviaire et autoroutière. Le bassin parisien est un carrefour international. Le réseau est dense.<o:p></o:p>

    -        À l’échelle régionale : le croissant littoral orange-menton est très bien desservie, il possède un réseau dense mais l’arrière pays est un réseau lâche<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les massifs montagneux (sauf les alpes du nord) et les territoires ultramarins constituent les « angles morts » du territoire national. Ils sont par conséquent mal insérés dans la mondialisation<o:p></o:p>

    À l’échelle régionale, beaucoup de territoires souffrent de l’ « effet tunnel » : ils sont traversés par de grands axes de transport, mais n’y ont pas accès<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    À l’inverse des grandes villes, les grandes vallées (qui constituent des corridors naturels) et les littoraux bénéficient de réseaux et de « fenêtres » puissants : LGV, autoroutes, grands hubs portuaires et aéroportuaires<o:p></o:p>

    La région parisienne est particulièrement bien équipée : c’est la conséquence d’une longue centralisation, qui a généré la création d’un réseau en étoile autour de paris (sur l’ensemble du territoire, les radiales sont privilégiées, au détriment des transversales)<o:p></o:p>

    Ces espaces peuplés sont donc bien insérés dans la mondialisation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour atténuer ces déséquilibres et assurer la continuité territoriale (relier les insulaires au continent) il faut investir dans la construction d’autoroute, d’antennes de téléphonie mobile, d’aéroports …<o:p></o:p>

    Mais les entreprises privées (ESCOTA) y renoncent souvent, faute de rentabilité<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’état qui a de moins en moins de moyens tend lui aussi à se désengager au profit des collectivités locales et de l’UE<o:p></o:p>

    L’aménagement des territoires et donc leur compétitivité sont directement liés à ces investissements<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2)    Des flux mondialisés<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La mondialisation se caractérise par l’intensification des déplacements :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    -        de population :<o:p></o:p>

    Les déplacements intérieurs s’élèvent à 175 millions de personnes par jour en France. Ils concernent la vie quotidienne (travail, loisirs) et s’opèrent avant tout par la route (31 millions de voitures)<o:p></o:p>

    Les déplacements à l’étranger augmentent : par la route, le rail et surtout l’avion.<o:p></o:p>

    Des flux migratoires convergent et partent de France : flux d’immigrants (160 000 par an) flux d’émigrants (230 000 par an dont 170 000 retours) et surtout des flux touristiques (82 millions en 2010, la France étant la 1ère destination touristique du monde)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    -        de marchandises et de capitaux :<o:p></o:p>

    Nos réseaux sont de plus en plus parcourus par des transporteurs nationaux et étrangers, car la France occupe une position de carrefour en Europe (camions d’agrumes de l’Espagne vers la RFA)<o:p></o:p>

    Les flux de capitaux et d’informations (les « invisibles) circulent par câbles par ondes de manières (entreprise de télécommunication orange)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour assurer les connexions avec l’étranger, il faut intégrer nos réseaux dans les réseaux européens et mondiaux :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø  LGV françaises connectées aux LGV des pays limitrophes (ligne LGV Thalys) <o:p></o:p>

    Ø  Ouvrages d’art de grande ampleur réalisés (tunnel du mont-blanc ; tunnel sous la manche) ou en cours (tunnel ferroviaire sous les alpes pour la liaison Lyon-Turin)<o:p></o:p>

     

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  • Chapitre 3<o:p></o:p>

    Les espaces productifs français dans la mondialisation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un espace productif est un espace voué à la production. (Ex : bassin parisien è espace à vocation agricole mais il a aussi une vocation industrielle et touristique). À cause de la mondialisation, les espaces productifs sont en concurrence avec parfois des territoires très éloigné. (Ex : Nice est en concurrence avec Malaga en Espagne sur la Costa Del Sol). Les espaces productifs doivent être compétitifs et attractifs : compétitivité è ils doivent donc se transformer en permanence pour être compétitifs. Aucun territoire ne doit rester figé.<o:p></o:p>

    On parle de dynamisme des espaces productifs.<o:p></o:p>

    Mais les territoires ne sont pas au même niveau dans cette compétition. L’Europe du nord et du nord ouest est les plus compétitifs. La région PACA a une forte compétitivité au niveau européen mais au niveau national à un assez fort indice de compétitivité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)  Étude de cas : un territoire de l’innovation è la région grenobloise<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Document de référence : livre page 142 à 145 et fiche polycopié<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Présentation :<o:p></o:p>

    1)     Grenoble se situe dans le quart sud-est de la France dans la région Rhône-Alpes. C’est le chef-lieu du département de l’Isère.<o:p></o:p>

    2)     Aire urbaine ayant une croissance assez forte. C’est aussi une grande aire urbaine.<o:p></o:p>

    -        Classement : 10° place<o:p></o:p>

    -        Nombre d’habitants : 664 832 hts<o:p></o:p>

    3)     Traversé par l’Isère et entouré par la chartreuse et le Vercors dans une vallée alpine<o:p></o:p>

    4)     L’aire urbaine grenobloise se situe dans le quart Sud-est de la France dans la région Rhône-Alpes. C’est le chef-lieu de l’Isère. La ville se développe dans une vallée alpine au confluent de l’Isère et du Drac.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un pole industriel de pointe :<o:p></o:p>

    1)     1900è hydroélectricité puis 1945 èindustries et recherche puis 2000è autres industries dont industries de pointe.<o:p></o:p>

    2)     Les 3 domaines d’excellence de la région grenobloise sont :<o:p></o:p>

    -        Les biotechnologies, biochimie, microbiologie, biologie moléculaire, génétique è ensemble des techniques qui utilise des ressources du vivant)<o:p></o:p>

    -        Les technologies de l’information et de la communication, logiciels informatique, technologies mobiles<o:p></o:p>

    -        Les nouvelles technologies de l’énergie, énergie solaire (panneau photovoltaïque)<o:p></o:p>

    3)     Minalogic est une société qui est un pôle de compétitivité mondial, qui est spécialisé dans les micros technologies, nanotechnologies et logiciels embarqué. Ses établissements se trouvent à Grenoble et tout autour de Grenoble concentré dans la vallée grenobloise è département Isère et quelque uns dans la région Rhône-Alpes

     

    Capture d’écran 2012-07-02 à 19.03.28
     

    Sophia Antipolis et minalogic sont tous deux des pôles de compétitivité de rang mondial<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)  Les dynamiques de localisation de l’activité<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La compétitivité d’un territoire tient à sa capacité d’innover è compétitivité.<o:p></o:p>

    L’innovation résulte d’un partenariat entre le secteur privé et le secteur public.<o:p></o:p>

    Ainsi se sont formés les pôles de compétitivité (voir schéma de l’étude de cas)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La France possède 71 pôles de compétitivité réparti sur l’ensemble du territoire (ultramarins compris). 7 y sont de rang mondial dont minalogic et Sophia Antipolis.<o:p></o:p>

    L’ensemble de ces pôles mobilise 9000 chercheurs et génère des milliers d’emploi.<o:p></o:p>

    La création de ces pôles par l’état (loi de finance de 2005) vise 2 objectifs :<o:p></o:p>

    -        Réduire l’écrasante domination de paris qui concentre 20% de la population et qui réalise 30% du PIB français, grâce à la politique de décentralisation engagé depuis 30 ans, paris perd de son pouvoir attractif.

     

    Capture d’écran 2012-07-02 à 19.05.24
     

    -        Freiner la désindustrialisation du pays, certaines branches industrielles françaises sont menacés de disparition (ex : chantier naval comme celui de st-Nazaire qui est le dernier de France)<o:p></o:p>

    La France possède un fort potentiel industriel<o:p></o:p>

    ·       Un savoir-faire (âge industriel)<o:p></o:p>

    ·       Une main d’œuvre qualifié et productive<o:p></o:p>

    ·       Une maîtrise de haute technologie<o:p></o:p>

    Mais nos coûts de production sont élevés et les produits « made in France » sont généralement chers.<o:p></o:p>

    Ainsi nous manquons parfois de compétitivité (ex : construction navale dominé par la Corée du sud)<o:p></o:p>

    Pour exister dans les compétitions internationales, notre industrie se recentre sur les produits haut de gamme et les hautes technologies :<o:p></o:p>

    -        Produits de luxe (LVMH)<o:p></o:p>

    -        Nucléaire civil (AREVA)<o:p></o:p>

    -        Aérospatial (Ariane espace)<o:p></o:p>

    -        Aéronautique (airbus industrie, Dassault)<o:p></o:p>

    -        Matériel ferroviaire (TGV, Tramway Alsthom)<o:p></o:p>

    -        Automobile (Renault et PSA)<o:p></o:p>

    -        Télécommunication (France télécom)<o:p></o:p>

    -        Biotechnologies (Minatech)<o:p></o:p>

    L’innovation est un impératif elle fait vivre notre industrie et les territoires qui l’accueille.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)  Les espaces agricoles français dans le marché mondial<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La France est une puissance agricole tournée vers l’exportation comme avec le vin, les céréales, les produits laitiers.<o:p></o:p>

    On vend des produits bruts (blé) et issu de l’industrie agro-alimentaire (Danone n°2 mondial et n°1 des produits laitiers et eaux minérales). L’agriculture est l’or vert français.<o:p></o:p>

    La France est passée de n°2 à n°4 au niveau de la production agricole par les Pays-Bas et l’Allemagne.<o:p></o:p>

    Notre agriculture a perdu de sa compétitivité, et sas les aides de la PAC elle serait même menacés.<o:p></o:p>

    Parmi les difficultés :<o:p></o:p>

    -        Les forts écarts de revenu des exploitants lié à la taille des exploitations et à la répartition des aides de la PAC qui favorise les céréaliers. Les petits exploitants voient même leur revenu diminué car le prix de vente de leurs produits augmentés moins vite que les charges (prix du matériel). Tous les exploitants sont à la merci des aléas climatiques.<o:p></o:p>

    -        Les intrants génèrent une pollution des sols et nappes phréatiques (pesticides et engrais). C’est une agriculture intense ou productiviste. Mais aussi des crises sanitaires (grippe aviaire)<o:p></o:p>

    -        Retard pris dans l’agriculture biologique ou durable : 10% de la production actuelle<o:p></o:p>

    -        La concurrence internationale è blé au États-Unis, bovine en argentine, ovine en Nouvelle-Zélande, agrume en Espagne et le vin au chili.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


    Pour résister la France met en valeur la qualité de ces produits qui sont lié à la variété des terroirs. La gastronomie française est le meilleur ambassadeur des produits agricoles français. Les produits de qualité qui certifie leur origine reçoivent un label (AOC, label rouge). L’agriculture biologique en France n’ai que le début ainsi on connaît la fin de l’agriculture productiviste pour une agriculture durable.

     

    Capture d’écran 2012-07-02 à 19.05.59

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>


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  • Chapitre 2<o:p></o:p>

    La France en ville<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Une majorité d’habitant vivent en milieu urbain. La France est un pays qui a mis longtemps à s’urbaniser. Les espaces ruraux tiennent encore une place importante en 2011.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)  Des villes de plus en plus attractive et dynamique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le taux d’urbanisation en France atteint aujourd’hui 82%. Une aire urbaine est un ensemble urbanisé et vaste. Au cœur il y a une ville centre (avec une densité importante). Ensuite il y a des banlieues avec des grands ensembles d’immeuble et de quartiers résidentiels (maisons ou pavillons) puis d’une couronne périurbaine qui se compose d’un mélange d’espace urbanisé (petite villes et villages) et d’espace ruraux.<o:p></o:p>

    Comment déterminer les limites d’une aire urbaine ?<o:p></o:p>

    Il faut prendre en considération le lieu de travail des actifs. Lorsqu’une commune possèdent au moins 40% de ces habitants qui travaillent dans la ville centre, est placé dans l’aire urbaine.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cet étalement urbain est consommateur d’espace et s’appelle la périurbanisation.Sans titre3

    Cette carte montre l’inégale évolution des villes de France. Les villes du sud ont une croissance plus rapide que celles du nord. C’est à cause de l’héliotropisme et des migrations internes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)  Le phénomène de métropolisation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Métropolisation è attraction et concentration de population, d’activité tertiaire et de pouvoir dans les grandes villes.<o:p></o:p>

    Grande ville è métropole è ville de plus de 200 000 habitants

     Sans titre4 

    L’aire urbaine de paris concentre 20% de la population française soit 12 millions d’habitants è mégalopole. Paris écrase par son importance les autres villes françaises. Paris concentre le pouvoir politique, le pouvoir économique, le pouvoir culturel.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le réseau urbain est déséquilibré centralisé et macrocéphale<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Viles <o:p></o:p>

    Population <o:p></o:p>

    Classement <o:p></o:p>

    Paris<o:p></o:p>

    12 millions<o:p></o:p>

    1ère ville de France <o:p></o:p>

    Lyon<o:p></o:p>

    1.7 millions<o:p></o:p>

    2nde ville de France<o:p></o:p>

    Marseille<o:p></o:p>

    1.6 millions<o:p></o:p>

    3ème ville de France<o:p></o:p>

    Lille<o:p></o:p>

    Roubaix<o:p></o:p>

    Tourcoing<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1.2 millions<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    4ème ville de France<o:p></o:p>

    Nice<o:p></o:p>

    1 millions<o:p></o:p>

    5ème ville de France<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Toutes ces métropoles tendent à s’agrandir au détriment des villes plus petites.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Exemple de Nice :<o:p></o:p>

    Nice concentre des activités du tertiaire supérieur<o:p></o:p>

    Transport<o:p></o:p>

    Ligne d’azur<o:p></o:p>

    Éducation<o:p></o:p>

    Polytech Sophia<o:p></o:p>

    Administration<o:p></o:p>

    Conservatoire de Nice, aéroport<o:p></o:p>

    Santé<o:p></o:p>

    Institut Arnault Tzank<o:p></o:p>

    Culture<o:p></o:p>

    MAMAC<o:p></o:p>

    Commerce<o:p></o:p>

    Nice étoile, Cap 3000<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)  Réduire les fractures sociales et spatiales dans les villes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Toutes les grandes villes présentent des contrastes entre les quartiers (cimiez, l’Ariane) les contrastes sont directement liés au niveau de vie de la population qui y habitent. On parle de contrastes socio-spatiaux. Depuis 30 ans l’état mène une politique de la ville dont le but est de réduire ces contrastes. Pour créer d’avantages de mixité sociale.<o:p></o:p>

    Les moyens pour atteindre ce but :<o:p></o:p>

    -       
    L’agence nationale de rénovation urbaine) è partenariat avec les municipalités de Nice pour pasteur, classé ZUS<o:p></o:p>

    -        Contraindre les municipalités à prévoir dans leur PLU la construction de logement sociaux (20% de logement sociaux pour 2020)<o:p></o:p>

    -        Crée des activités dans les quartiers sensibles (stade de France dans la Courneuve)<o:p></o:p>

     

    Sans titre5Sans titre6

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>


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  • Chapitre 1 : Valoriser et ménager les milieux<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    La France est un pays très anciennement occupé (les aqueducs ont été crée par les romains il t a plus de 2000 ans). L’aménagement continue pour répondre aux besoins d’une population en augmentation. Aménager c’est valoriser le territoire tout en le préservant (développement durable).<o:p></o:p>

    Le milieu est un environnement (urbain, rurale, forestier) est défini par la nature et ce que les Hommes ont fait. Un environnement beaucoup transformé est un milieu anthropisé. Les forêts sont des milieux peu anthropisés. Il n’existe pas de milieu naturel : ils ont tous une marque de l’homme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)  Étude de cas : la gestion durable dans un milieu è la forêt de fontainebleau<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Elle se situe en seine et marne (77) dans la région île de France au sud-est, à proximité de paris à environ 60 km.<o:p></o:p>

    C’est un espace récréatif.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1)    Une gestion ancienne, un milieu très fréquenté<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    2)    Une forêt à protéger <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les premiers partisans de la forêt étaient des artistes (peintres et écrivains) car c’est une source d’inspiration. Ils s’opposent aux bucherons qui déboisent la forêt.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Classement par échelle<o:p></o:p>

    Acteurs <o:p></o:p>

    Outils <o:p></o:p>

    6<o:p></o:p>

    Associations<o:p></o:p>

    Amis de la foret de fontainebleau<o:p></o:p>

    3<o:p></o:p>

    État<o:p></o:p>

    Office nationale des forets<o:p></o:p>

    1<o:p></o:p>

    Unesco<o:p></o:p>

    Réserve de biosphère<o:p></o:p>

    2<o:p></o:p>

    Union européenne<o:p></o:p>

    Natura 2000<o:p></o:p>

    4<o:p></o:p>

    Conseil régional<o:p></o:p>

    Périmètre de protection<o:p></o:p>

    5<o:p></o:p>

    Conseil général<o:p></o:p>

    Zico<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il y a plusieurs acteurs donc plusieurs outils qui ne sont pas les mêmes donc c’est complexe<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La création d’un parc national serai un moyen de simplifier la protection mais elle serait trop protégée, elle serait moins fréquenté. Les partisans de cette création sont les écologistes, le maire de fontainebleau, les scientifiques. Les adversaires de cette création sont les usagers de la forêt et les vététistes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Bilan :<o:p></o:p>

    La gestion de l’aménagement des espaces naturels en France ne fait pas l’unanimité. C’est un enjeu sujet à débat<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les écologistes et certains scientifiques sont favorables à la multiplication des parcs nationaux gérés par l’état. Ces parc son de véritables « sanctuaires de la nature » à la réglementation prescrite. La France compte 10 parcs nationaux.<o:p></o:p>

    5 parcs de montagne è la Vanoise, les Pyrénées, les Cévennes, les écrins, le Mercantour<o:p></o:p>

    1 parc marinè Port-Cros<o:p></o:p>

    1 parc littoralè les calanques<o:p></o:p>

    3 parcs d’outre mer è la Guadeloupe, la Guyane, la réunion.<o:p></o:p>

    Les autres adeptes de la protection ont des règles plus souples permettant la fréquentation par un plus grand nombre. Ainsi les parcs régionaux et départementaux gérés par les collectivités territoriales sont de véritables espaces récréatifs.

     

    Capture d’écran 2012-07-02 à 18.10.41

    A)  Atouts et contraintes du territoire français<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1)    Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La France se situe à l’ouest de l’Europe, elle constitue un isthme.<o:p></o:p>

    La superficie de l’hexagone est de 551 000 km²<o:p></o:p>

    Elle possède deux façades maritimes (façade atlantique et façade méditerranéenne). Elle se situe aux moyennes latitudes. Elle bénéficie d’un climat tempéré.<o:p></o:p>

     

    Il y quatre types de milieux en France :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    -        En vert foncé è le climat océanique dégradé<o:p></o:p>

    -        En vert clair èle milieu océanique<o:p></o:p>

    -        En jaune è le milieu méditerranéen<o:p></o:p>

    -        En marron è le milieu montagnard<o:p></o:p>

     

    Sans titre1

    L’écart des températures d’hiver-été s’appelle l’amplitude thermique. En France, il est relativement faible grâce à l’océan qui rafraichit en été et réchauffe en hiver. Cet effet est beaucoup plus atténué vers l’alsace, par exemple où l’amplitude thermique est plus élevée.

    <o:p></o:p>

    Ces milieux sont des variantes du climat tempéré. Mais la France connait les climats tropicaux et les climats polaires (RDOM è régions et départements d’outre-mer et les COM è collectivités d’outre-mer è les anciens DOM-TOM : on parle des territoires ultra-marins)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Milieu : composé du climat + du relief + la faune et la flore + l’action de l’homme<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Climat : composante principale du milieu<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ces territoires ultramarins se situent en Afrique, en Océanie, et en Amérique. (cf. carte des territoires ultramarins de la France)<o:p></o:p>

    2)    Potentialité et contraintes du territoire français<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un potentiel naturel élevé<o:p></o:p>

    Des milieux fragiles et à risques<o:p></o:p>

    -        Superficie relativement importante (3° superficie d’Europe) è vaste SAU = surface agricole utile<o:p></o:p>

    -        Douceur et diversité des climats (agriculture)<o:p></o:p>

    -        Grande diversité des milieux è paysage variés è tourisme (on retrouve tous les paysages d’Europe en France – les fjords)<o:p></o:p>

    -        Territoires ultramarins permettent une présence française mondiale (è avantage stratégique ; 3° domaine maritime du monde)<o:p></o:p>

    -        Les ressources du sol sont importantes : 1/3 de terres arables (cultivables) ; 1//3 du territoire boisé<o:p></o:p>

    -        Potentiel hydraulique important (sources, fleuves, lacs) è transport fluvial è irrigation è production énergie<o:p></o:p>

    -        Potentiel important  pour les énergies renouvelables (qui se renouvellent à l’échelle humaine) : elles ont toutes pour source principale le soleil<o:p></o:p>

    -        Énergie solaire : centrales solaires (miroirs renvoient-ils les rayons sur un four solaire è température qui augmente beaucoup) ; chauffe eau solaire (captent la chaleur du soleil) ; panneaux photovoltaïque (produisent du courant électrique) mais lors de la nuit ou du mauvais temps l’efficacité est réduite.<o:p></o:p>

    -        Énergie éolienne : parcs d’éolienne ; éolienne d’altitude (avenir) è cerf volants<o:p></o:p>

    -        Énergie hydraulique : centrale de barrage ; centrale au fil de l’eau (turbines => électricité) ; grâce aux vagues (tubes en métal => mobiles)<o:p></o:p>

    -        Biomasse (végétaux) bois biocarburants (attention è polluants)<o:p></o:p>

    -        Géothermie (eau chaude du sous sol)<o:p></o:p>

    -        Pauvreté du sous-sol en énergie fossile et en matière premières (charbon, pétrole, gaz ….)<o:p></o:p>

    -        Aléas naturels : séismes, inondations (de plus en plus fréquentes dues au dérèglement climatique et à l’urbanisation) ; avalanches (plus meurtrières dues à la construction dans les zones à risques et à a déforestation) ; volcanisme (la réunion) ; tempête (xynthia : marées vents et pluies) ; canicules (montée en température de plus en plus fréquentes)<o:p></o:p>

    -        Sururbanisation (abus de construction)<o:p></o:p>

    -        Pollution (de l’air ; des sols è agriculture, engrais chimique è algues vertes en Bretagne)<o:p></o:p>

    -        Risques technologique : sites nucléaires ; sites industrielles (AZF en 2001 à Toulouse)<o:p></o:p>

    -        Les marées noires sur les cotes atlantiques<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     
    Sans titre2

    1)    Des milieux à ménager (à protéger)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La pression exercé par les sociétés sont de plus en plus forte sur les milieux à cause de la croissance démographique et à la croissance économique. La transformation des milieux s’accélère. Plus les sociétés se développent plus il y a de risques (inondation). <o:p></o:p>

    Depuis plus de 50 ans on a engagé une politique de sauvegarde de l’environnement. Elle concerne tout le monde même parfois l’international : <o:p></o:p>

    ·       Les pouvoirs publics<o:p></o:p>

    ð  L’union européenne (échelon supranational) s’engage à protéger les espèces animales et végétales avec natura 2000 et agenda 21. La réglementation de la pêche et de la chasse.<o:p></o:p>

    ð  L’état (échelon nationale) avec le ministère de l’écologie et du développement durable. Il protège et réglemente les parcs nationaux, mais aussi les forets avec l’ONF. Il s’occupe de la conservation des littoraux avec le conservatoire du littoral (préserver les bords de mer) et préserve la montagne avec la loi montagne.<o:p></o:p>

    ð  Les collectivités territoriales (échelon local) gestion des parcs régionaux, départementaux. Chaque commune dans son PLU doit préserver des zones de vert.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·       Les citoyens : tri sélectif, transport doux, associations.<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>


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