Épreuve orale<o:p></o:p>

Méthodologie<o:p></o:p>

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Interrogé à partir du descriptif qui présente tous les extraits détaillés, textes complémentaires et lectures personnelles et les notions clés et activité. Donc bien tout connaître.

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1^ère partie : exposé sur un sujet précis communiqué avant l’épreuve (un aspect ou problématique importante) avec une question sur un des aspects qui est interrogé sur un sous-axe. I faut discuter de ce sous-axe è démonstration, réflexion, personnelle.

C’est une question transversale. On a 10 minutes maximum pour la traiter. Il faut s’exprimer avec clarté et précision.

<o:p> </o:p>

I)             La présentation de l’exposé à l’oral<o:p></o:p>

3 parties :

- introduction è 3 à 3,30 minutes

- développement è 5 à 5,30 minutes

- conclusion è 1 à 1,30 minutes

Techniques, logique et précision

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Il vaut mieux zapper un peu d’introduction mais surtout pas le développement

<o:p> </o:p>

1)  Introduction<o:p></o:p>

Le texte que j’ai a commenté est un texte de … tiré de …<o:p></o:p>

Je vais maintenant introduire ce texte et le situer :<o:p></o:p>

- mini lecture analytique avec énumération des mots-clés {: choix artistique, mouvement},

- présentation de l’œuvre {date, titre, genre …},

- situer l’extrait {référence, lignes, actes, situation, nature …)

Lecture de l’extrait et du sujet

À partir de ce texte je vais tenter de répondre à ce sujet<o:p></o:p>

 

Donc il s’agit d’à partir de l’intérêt général du texte è problématique

Pour répondre à cette question voici le plan que je vais suivre è I puis II

<o:p> </o:p>

2)  Le développement<o:p></o:p>

Le développement doit se présenter dans deux axes avec deux sous-axes (liés à des procédés et des choix d’écriture. Annoncer quand démarre le premier axe è ne pas hésiter à le répéter et le reformuler :

- le définir en 1 phrase (le sous-axe) avec deux ou trois remarques analytiques avec des citations è les commenter

Conclusion partielle et introduction partielle (de même pour le second sous-axe) puis conclusion de l’axe

<o:p> </o:p>

- de même pour le second axe

<o:p> </o:p>

3)  La conclusion<o:p></o:p>

On rappelle le titre, le texte et le sujet et la problématique.

Faire des phrases brèves de réponse par rapport au sujet élargissement avec des textes susceptibles d’être rapproché et un second élargissement littéraire ou non .

<o:p> </o:p>

Il faut essayer de clôturer l’oral sur une citation (justifier + citer)

<o:p> </o:p>

II)          La préparation<o:p></o:p>

Sortir des feuilles de brouillons et classeur de textes, surligneur, stylos

<o:p> </o:p>

Feuille 1 è sert de brouillon (OE, mots-clés, plan, problématique, intérêt général)

Feuille 2 è feuilles de notions et de culture (situation, contexte, bio, extrait, memo, mots-clés, textes complémentaires, œuvres, citation)

Feuille 3 è feuille de commentaires (introduction complète, conclusion complète, développement)

<o:p> </o:p>

La dissertation<o:p></o:p>

C’est une réflexion, une discussion à partir d’un problème précis portant sur un objet d’étude au programme.<o:p></o:p>

C’est une démonstration logique, argumentée. De l’introduction à la conclusion, la dissertation avance étape par étape selon un plan qui est toujours organisé d’avance.<o:p></o:p>

La dissertation ne demande pas un sujet particulier, mais elle se doit d’être claire, précise et rigoureuse.<o:p></o:p>

C’est un exercice incontournable (il ne peut être évité)<o:p></o:p>

C’est savoir discuter, se promouvoir, se défendre (art du débat)<o:p></o:p>

La culture générale est indispensable car elle permet un regard transversal. Elle se doit d’être pluridisciplinaire.<o:p></o:p>

La dissertation est un acte de modestie (le moi et le je n’ont pas leur place dans une dissertation).<o:p></o:p>

Le plan d’une dissertation comprendra toujours trois parties avec à chaque fois une introduction un développement et une conclusion.<o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

I)              L’introduction<o:p></o:p>

C’est un bloc : pas d’alinéa, pas de paragraphes, avec des étapes successives aux nombres de quatre :<o:p></o:p>

-       L’amorce (ou accroche) è on ne va aborder le sujet de façon brutale. On part d’une idée / thème / notion plus large que le sujet.<o:p></o:p>

Ex : la tragédie : on part du théâtre ou du spectacle (qui englobe la tragédie) <o:p></o:p>

Attention  è éviter les formules du style : « depuis telle période »<o:p></o:p>

-       La présentation du sujet è (que ce soit une citation, un thème général) : on donne les éléments qui permettent de préciser le cadre du sujet ; il se peut que le sujet présente une thèse : il faut alors présenter la thèse soutenue.<o:p></o:p>

-       La présentation de la problématique è « à partir de ce thème / sujet nous pouvons nous poser la question suivante ». Elle lance le débat. Elle peut avoir deux structure en fonction du sujet : question simple « est-ce que …. » ou question double « est-ce que … ou est-ce que … ». Cette problématique peut éventuellement expliciter la question de problématique en sous question de problématique.<o:p></o:p>

-       L’annonce du plan è (ne jamais employer les mots « plan », « parties », « développement ») pour répondre à cette question : nous pourrions / il serait possible de / nous nous pencherons sur / il serait judicieux / dans un premier temps – ensuite – enfin. Elle durera entre 20 et 25 lignes.<o:p></o:p>

-       Remarques : - l’introduction se prépare au brouillon<o:p></o:p>

o   rédiger l’introduction en entier au brouillon (par souci de style) et le corriger si nécessaire afin qu’il soit pertinent et élégant. (Le premier contact avec le correcteur doit être réussi)<o:p></o:p>

 

II)             Développement <o:p></o:p>

Le montage du plan au brouillon ne devrait pas prendre plus de 20 min. pour élaborer ce plan, il va falloir revenir au sujet, car il existe deux grandes catégories de sujet, donc deux types de problématique et deux types de plan.<o:p></o:p>

	Présence de thèse<o:p></o:p>	Type de sujet<o:p></o:p>	Type de problématique<o:p></o:p>	Type de plan<o:p></o:p>
1ère catégorie<o:p></o:p>	Aucune thèse explicite ou implicite<o:p></o:p>	-        Définition (qu’est-ce qu’argumenter)<o:p></o:p> -        Techniques (pour quels procédés ; comment)<o:p></o:p>	Question ouverte ou question simple<o:p></o:p>	Il ne contient pas d’opposition è plan thématique (approfondissement de notions)<o:p></o:p>
2nde catégorie<o:p></o:p>	Présence d’une ou deux thèses explicites ou implicites<o:p></o:p>	-        Opinion générale (pensez-vous que ; commentez)<o:p></o:p>	Question double ou alternative<o:p></o:p>	Plan dialectique ou plan critique (thèse – antithèse – synthèse)<o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

La différence entre les sujets « techniques » et les sujets « opinions » est la présence de thèse ou non<o:p></o:p>

Le plan thématique développe des notions en trois axes<o:p></o:p>

Le plan dialectique est fort en argumentation (thèse – antithèse – synthèse). Mais pour ces deux plans il y a la même structure (introduction – développement en trois parties – conclusion).<o:p></o:p>

 

1)    Le plan thématique <o:p></o:p>

Il se présente sous trois thèmes ou aspect étudiés successivement et qui forment les trois parties èplan descriptif, plutôt explicatif.<o:p></o:p>

Il faut créer des minis débats à l’intérieur des parties, dans le sous thèmes (qui doivent être argumentatifs).<o:p></o:p>

Il faut équilibrer les remarques d’idées et les citations d’œuvres / exemples (dont les trois quarts doivent être tirés du corpus)<o:p></o:p>

 

2)    Le plan dialectique<o:p></o:p>

Ce type de plan présente une thèse explicite ou implicite. Il se subdivise en trois parties (thèse – antithèse – synthèse). Tous les sujets à thèse ne se présentent pas de la même façon :<o:p></o:p>

-        Sujets qui présentent un thèse incontestable (= une évidence). Ex : « le théâtre est fait pour être joué » (citation de Molière qui est non discutable)<o:p></o:p>

-        Sujets qui présentent une thèse contestable (on peut la soutenir ou la critiquer). Ex : « l’argumentation directe est ce qu’il y a de mieux pour argumenter »<o:p></o:p>

	Sujet à thèse incontestable<o:p></o:p>	Sujet à thèse contestable<o:p></o:p>
Thèse<o:p></o:p>	Je montre en la développant que cette théorie est tout à fait logique, normale, fondamentalement acceptable (je la défend en montrant tous les points positifs)<o:p></o:p>	Au brouillon, il est fondamental d’expliciter le sujet (ex : « la fable est le meilleur moyen d’argumenter » è il faut chercher les « autres moyens » contre l’argumentation directe). Il faut choisir ce que l’on soutient en se justifiant sur nos connaissances. Pour l’élaboration du plan, on ne commence jamais par la théorie que l’on préfère, il faut être objectif. « il est vrai que …. + qualités » (dans le 1er paragraphe) « oui / non » pour le deuxième et « non » pour le troisième <o:p></o:p>
Antithèse<o:p></o:p>	On se consacre aux aspects problématique (quels sont les cas particuliers, le risque de dérives, les points faibles, les éventualités d’incompréhension). On critique de façon précise.<o:p></o:p>	On montre la qualité / supériorité du point de vue numéro 2 (qui est le notre). Mais ou on ne peut pas être crédible si on en fait que l’éloge. Dans chaque paragraphe il faudra donc 1 critique ou remarque (à dose réduite)<o:p></o:p>
Synthèse<o:p></o:p>	Il ne faut pas se répéter en trouvant un système de complémentarité, il faut trouver une compatibilité entre la thèse et l’antithèse « au delà de ……, il y a une autre manière d’aborder ce sujet qui permet de réunir … » (culture générale) il faut s’élever par rapport aux deux parties précédentes.<o:p></o:p>	Exactement pareil que le plan du sujet contestable<o:p></o:p>

 

Le commentaire<o:p></o:p>

 

Le commentaire est très proche de la lecture analytique mais le développement de la lecture analytique est identique à un axe.<o:p></o:p>

Un commentaire se fait à partir d’un texte et à un objet d’étude ; il faut donc une connaissance de l’objet d’étude et de l’histoire littéraire et historique en plus des procédés littéraire qui permettent d’aller au cœur du message, de l’histoire et de l’intrigue et donc de cerner l’idée, le thème et le message d’un texte<o:p></o:p>

I)              Introduction<o:p></o:p>

·       Phrase d’accroche (contexte littéraire, objet d’étude, thème, message du texte, exemple littéraire ou artistique)<o:p></o:p>

·       Présentation de l’auteur à travers son œuvre (référence, sujet, genre, …)<o:p></o:p>

·       Intérêt du texte et problématique (question au style direct)<o:p></o:p>

·       Annonce du plan  è en 2 ou 3 axes<o:p></o:p>

Ces 4 étapes seront présentés en un seul paragraphe (25 à 30 lignes) {ce n’est pas un cours d’histoire}<o:p></o:p>

II)             Développement <o:p></o:p>

Un axe met en avant un des deux ou trois grands procédés du texte. Les axes ne doivent pas se répéter ni se chevaucher.<o:p></o:p>

Un procédé = un sens<o:p></o:p>

Les titres des axes doivent faire parler des techniques d’écriture.<o:p></o:p>

Un axe va se subdiviser en sous axe<o:p></o:p>

·       Une introduction partielle (3 à 5 lignes)<o:p></o:p>

·       Un premier sous-axe (25 à 30 lignes)<o:p></o:p>

·       Un second sous-axe (25 à 30 lignes)<o:p></o:p>

·       Un troisième sous-axe (25 à 30 lignes)<o:p></o:p>

·       Une conclusion partielle (3 à 5 lignes)<o:p></o:p>

Remarque : la rédaction du sous-axe dans le sous axe ont un composant de l’axe où l’on doit relever au brouillon les passages et les citations et où l’on doit les analyser avec des procédés ce qui permet un constat sur le texte<o:p></o:p>

La première phrase du sous axe présente les sous axes avec un mot d’explication ou de justification en plus de présenter les principaux points, de présenter les citations avec les références plus expliquer les trois quarts du texte qui permet une conclusion sur le message du texte.<o:p></o:p>

Lecture analytique : méthodologie<o:p></o:p>

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Une lecture analytique est une explication d’un texte qui s’articule autour de deux ou trois axe majeur. Cela correspond au développement du commentaire à l’écrit. Le plan de la lecture analytique sera toujours le même.<o:p></o:p>

I)               Introduction<o:p></o:p>

1)     Situation<o:p></o:p>

A)     Les contextes<o:p></o:p>

a)     Contexte politique et historique<o:p></o:p>

b)     Contexte culturel et social<o:p></o:p>

c)     Contexte littéraire<o:p></o:p>

B)     La biographie de l’auteur<o:p></o:p>

C)     L’œuvre précise de l’extrait<o:p></o:p>

D)    La présentation de l’extrait<o:p></o:p>

2)     Lecture du sujet et lecture du texte<o:p></o:p>

3)     Intérêt général du texte<o:p></o:p>

4)     Problématique<o:p></o:p>

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II)              Développement en deux ou trois axes<o:p></o:p>

1)     axe 1<o:p></o:p>

A)     sous axe 1<o:p></o:p>

B)     sous axe 2<o:p></o:p>

C)     sous axe 3 (facultatif)<o:p></o:p>

2)     axe 2<o:p></o:p>

A)     sous axe 1<o:p></o:p>

B)     sous axe 2<o:p></o:p>

C)     sous axe 3 (facultatif)<o:p></o:p>

3)     axe 3 (facultatif)<o:p></o:p>

A)     sous axe 1 (facultatif)<o:p></o:p>

B)     sous axe 2 (facultatif)<o:p></o:p>

C)     sous axe 3 (facultatif)<o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

III)            Conclusion <o:p></o:p>

1)     Rappel de la problématique ou du sujet<o:p></o:p>

2)     Réponse globale/synthèse<o:p></o:p>

3)     Une ou deux ouvertures culturelles ou littéraires (comparaison avec d’autres textes)<o:p></o:p>

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Épreuve écrite <o:p></o:p>

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La question sur corpus : <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

            Le corpus concerne toujours un objet d’étude, parfois 2, il faut donc se recentrer sur leur contenu. Parfois le corpus possède un titre (aide pour cadrer). Généralement, le corpus se compose de plusieurs textes et parfois un document iconographique. <o:p></o:p>

A partir du corpus, les élèves doivent répondre à une ou deux questions et faire précéder leur(s) réponse(s) d’une présentation de corpus. <o:p></o:p>

Cette première partie de l’épreuve est notée sur 4 points et ne doit pas dépasser 70 minutes de temps de travail. <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

I-             La préparation au brouillon : <o:p></o:p>

 

On a environ 30 minutes de travail au brouillon et l’autre partie est consacrée à<o:p></o:p>

L’écriture sur la feuille. <o:p></o:p>

Il faut : <o:p></o:p>

-       regarder l’objet d’étude ; <o:p></o:p>

-       voir s’il y a un titre ; <o:p></o:p>

-       regarder sommaire (listes auteurs classés par ordre chronologique = dates personnelles => situer par rapport à l’histoire littéraire, titres d’œuvre des extraits). Ces éléments doivent être assimilés ; <o:p></o:p>

-       Regarder le libellé des questions ; <o:p></o:p>

-       Prendre autant de feuilles de brouillon que de questions (utiliser juste recto) ; <o:p></o:p>

-       Préparer feuilles des questions (en haut sujet question, puis tableau avec trois colonnes => en fonction des textes ; les remarques personnelles ; citations) ; <o:p></o:p>

Le but de l’exercice n’est pas de relever mais d’analyser : il faut COMPARER/CROISER LES TEXTES <o:p></o:p>

-       Reporter les preuves permettant d’appuyer et justifier réponse à la question ; <o:p></o:p>

-       Commencer la lecture des textes ; <o:p></o:p>

-       Noter des citations (avec système couleur => surligner sur le polycopié). <o:p></o:p>

Corpus unique : cas particulier de corpus constitué d’un seul texte (petite œuvre intégrale) => traité alors les points communs et différences dans les parties de l’extrait. <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

Travail de 30 minutes <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

II-           Le montage du plan au brouillon : <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

Prendre une autre feuille de brouillon : <o:p></o:p>

-       préparer un plan regroupant les convergences et divergences dans les différents extraits. <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

10 pour 2 questions <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

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III-        La rédaction : <o:p></o:p>

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1)   Présentation de corpus : (impérative) <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

Ecrire sur la feuille « question sur corpus » puis « présentation de corpus ». <o:p></o:p>

Il faut commencer par : <o:p></o:p>

« LE corpus proposé traite de … (objet d’étude), et plus précisément de … (thème). Il se compose de X textes, X documents iconographiques. » <o:p></o:p>

Il faut donner un cadrage (situer). Puis, travailler texte après texte en rédigeant à chaque fois un paragraphe de 4 lignes. Exemple : « Le premier texte est un texte de …, l’extrait appartient à l’œuvre… publiée en … Il s’agit du chapitre … Il traite du thème de … ». <o:p></o:p>

Il faut aussi présenter les textes complémentaires, et faire une phrase de synthèse sur l’homogénéité, l’unité d’ECRITURE du corpus. <o:p></o:p>

En tout le corpus doit faire plus ou moins 20 lignes. <o:p></o:p>

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(Saut de deux lignes) <o:p></o:p>

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2)   Réponse aux questions : <o:p></o:p>

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Consacrer 5 minutes pour chacune des questions préalablement étudiées au brouillon. <o:p></o:p>

Il faut recopier et souligner les questions. (30 lignes chacune, si une seule question 70 lignes) <o:p></o:p>

Il faut commencer la réponse à la question par une introduction (5 lignes) qui va reformuler et justifier la question, puis, annoncer le plan logique, ensuite, il faut rédiger différents paragraphes sur chaque axe de chaque question. <o:p></o:p>

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Attention : il ne faut pas dire « texte 1 » ni utiliser d’abréviations ! <o:p></o:p>

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Enfin, il faut faire une conclusion (5 lignes) et essayer d’aller plus loin en utilisant ses connaissances. <o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

Il faut être très rapide. <o:p></o:p>

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Pour conclure il faut tirer un trait après cette partie. <o:p></o:p>

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