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Glucides
Glucides<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Oses<o:p></o:p>
Monosaccharides<o:p></o:p>
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<o:p> </o:p>
Holosides <o:p></o:p>
Disaccharides (2)<o:p></o:p>
Polysaccharides (<10)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Hétérosides <o:p></o:p>
Glycoprotéines<o:p></o:p>
Glycolipides<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
- Composé de 3 à 7 carbones<o:p></o:p>
- Caractère hydrophile<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Les fonctions<o:p></o:p>
- Apport énergétique<o:p></o:p>
- Stockage sous forme de glycogène dans le foie / muscle<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Classification<o:p></o:p>
- La longueur de la chaine carbonée :<o:p></o:p>
3C : triose<o:p></o:p>
4C : tétrose<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
5C : pentose<o:p></o:p>
6C : hexose<o:p></o:p>
- 2 fonctions possibles : aldéhyde (préfixe : aldo)<o:p></o:p>
Cétone (préfixe : céto)<o:p></o:p>
- Le reste porte OH et H<o:p></o:p>
Ex : Glucose è aldohexose<o:p></o:p>
Fructose è cétohexose<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
I) Les aldoses (3C minimum)<o:p></o:p>
C1 : Fonction aldéhyde<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
C2 : Carbone asymétrique (énantiomères)<o:p></o:p>
2 séries : L = OH à droite la majorité des sucres de l’organismes sont L<o:p></o:p>
D = OH à gauche <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
II) Les cétoses (4C minimum)<o:p></o:p>
C2 : Fonction cétone <o:p></o:p>
C3 : Carbone asymétrique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
III) Filiation<o:p></o:p>
Quand on ajoute un carbone on rallonge la chaine carbonée<o:p></o:p>
- Isomères : même formule brute mais structure différente<o:p></o:p>
- Isomères de fonction : même formule brute mais fonction différente<o:p></o:p>
- Énantiomères : pas superposables, change d’orientation au premier carbone asymétrique (série D/L)<o:p></o:p>
- Epimères (linéaire) : même formule brute, série, orientation différente d’un seul carbone<o:p></o:p>
- Anomères (cyclisation) : même formule brute, diffère de la position du OH du carbone anomérique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
IV) Cyclisation des glucides<o:p></o:p>
- Niveau énergétique le plus bas à se cyclise (perd la fonction aldéhyde pour une fonction hydroxyle)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pyrane <o:p></o:p>
6 côtés (5C et O)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Furane<o:p></o:p>
5 côtés (4C et O)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Carbone asymétrique suivant la position de son OH peut-être α (au dessous du plan) ou β (au dessus du plan)<o:p></o:p>
Les deux anomères n’ont pas les mêmes propriétés<o:p></o:p>
Pour passer d’un anomère à l’autre on fait une maturotation en passant par la forme linéaire<o:p></o:p>
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1) Pyrane (5C)<o:p></o:p>
Carbone anomérique en position 1 <o:p></o:p>
Fonction OH du C5 forme un pont<o:p></o:p>
En structure chaise : si le OH du C1 est en bas è α (HPE, pas stable, configuration trans)<o:p></o:p>
Si le OH du C1 est en haut è β (FPE, plus stable, configuration cis)<o:p></o:p>
On a plus de β qua de α dans l’organisme<o:p></o:p>
Il existe 3 formes en même temps (2 cyclique et une linéaire), seule la linéaire est active <o:p></o:p>
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2) Furane (4C)<o:p></o:p>
2 anomères α et β en C2<o:p></o:p>
C’est une forme moins stable que le pyruvate<o:p></o:p>
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3) Propriétés du carbone anomérique<o:p></o:p>
Type de réactions<o:p></o:p>
Amination<o:p></o:p>
Liaison N-glycosidique<o:p></o:p>
Vis à vis d’un groupement hydroxyle<o:p></o:p>
Liaison O-glycosidique (création d’un polymères de monosaccharides)<o:p></o:p>
Vis à vis de l’acide phosphorique<o:p></o:p>
Élève le niveau énergétique / active le sucre<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Isomérisation<o:p></o:p>
Isomère de fonction<o:p></o:p>
Épimérisation<o:p></o:p>
Même formule développé mais OH diffère<o:p></o:p>
Estérification<o:p></o:p>
Fixation d’un groupement phosphate<o:p></o:p>
Acidification des sucres par oxydation<o:p></o:p>
OH en C6<o:p></o:p>
Formation d’une pseudo cétone<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Rupture du cycle pyrane<o:p></o:p>
Réduction fonction aldéhyde<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
V) Liaisons osidiques<o:p></o:p>
C’est le ciment de la polymérisation des mono et polysaccharides<o:p></o:p>
Ces liaisons impliquent toujours un carbone anomérique et une des fonctions hydroxyles de l’autre sucre (sauf celui qui est impliqué dans la cyclisation)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Liaison glycosidique è diholoside + H20<o:p></o:p>
Les aldoses ont un pouvoir oxydant quand ils sont linéaire (la liqueur de Fehling linéarise les aldoses)<o:p></o:p>
Certains cétoses après énolisation deviennent oxydants<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pour qu’un polysaccharide soit dit réducteur il faut qu’un de ces carbones anomériques soit libre<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
VI) Les disaccharides<o:p></o:p>
1) Diholosides non réducteurs<o:p></o:p>
- Implique les carbones anomériques de chaque ose è pas de pouvoir réducteur<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Diholosides réducteurs<o:p></o:p>
- Engage un seul carbone anomérique è garde les capacités réductrices<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3) Les différents disaccharides<o:p></o:p>
Maltose<o:p></o:p>
2 glucose<o:p></o:p>
Liaison α(1à4)<o:p></o:p>
Peut être hydrolysé<o:p></o:p>
Isomaltose<o:p></o:p>
2 glucose<o:p></o:p>
Liaison α(1à6)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Cellobiose<o:p></o:p>
2 glucose<o:p></o:p>
Liaison β(1à4)<o:p></o:p>
Rejeté<o:p></o:p>
Lactose<o:p></o:p>
Galactose-Glucose<o:p></o:p>
Liaison β(1à4)<o:p></o:p>
Intolérance (cause : déficit enzyme lactase)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
/ !\ deux anomères (1 métabolisé / 1 rejeté) è oblige à avoir le conformation optimale <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
VII) Les polysaccharides<o:p></o:p>
- Ils peuvent être linéaires (toujours le même type de liaison) ou branchés/ramifiés (permet de condenser).<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Les homopolysaccharides<o:p></o:p>
→ Amidon (forme de stockage du glucose chez les végétaux)<o:p></o:p>
- L’amidon peut être ramifié par le biais de liaisons α(1→6) ou non avec uniquement des liaisons α(1→4).<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
→ Glycogène (forme de stockage du glucose dans les cellules hépatiques et musculaires)<o:p></o:p>
- Présence de liaisons α(1→4) et α(1→6), support de la ramification.<o:p></o:p>
- Organisé de façon à ne laisser qu’une seule extrémité réductrice, située au niveau du C initial.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Les hétéropolysaccharides<o:p></o:p>
- Polymérisation de monosaccharides et d’entités non glucidiques<o:p></o:p>
- Possède plusieurs fonctions : Mise en place des structures tridimensionnels protéique<o:p></o:p>
Protection des protéines<o:p></o:p>
Interaction cellule-cellule quand partie protéique<o:p></o:p>
Spécificité expérience cible antigénique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3) Glycoprotéines (Gp)<o:p></o:p>
- Fixation de résidus glucosidiques sur les protéines post-traductionnelles participant à la fonction finale.<o:p></o:p>
- Structure : glucosamine et galactosamine + acide N-acétylneuraminique conférant son acidité à la Gp.<o:p></o:p>
- Les cupules glucidiques sont importantes et leurs fonctions biologiques sont variées (ex : protection des cellules lorsque les protéases sont déversées sur le bol alimentaire).<o:p></o:p>
- Deux types d’association des cupules glucidiques sur les protéines :<o:p></o:p>
→ Gp de type N-glycosylée si la cupule glucidique est fixée via une asparagine sur la fonction amine de la protéine avec un carbone anomérique.<o:p></o:p>
→ Gp de type O-glycosylée si la cupule glucidique est fixée sur des sérines ou thréonines par le biais des OH avec un carbone anomérique.<o:p></o:p>
è La glycolisation et la cupule glucidique se font en dehors du cytosol<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
4) Glycolipides<o:p></o:p>
- Hétéropolysaccharides dont la cupule glucidique qui se fixe au lipide peut être un monosaccharide ou une structure plus complexe.<o:p></o:p>
è Localisation sur la membrane externe plasmique (beaucoup de tissu nerveux)<o:p></o:p>
Si sucre simple<o:p></o:p>
Cérébrosides<o:p></o:p>
Glucocérébrosides<o:p></o:p>
Galactocérébrosides<o:p></o:p>
Si sucre complexe<o:p></o:p>
Gangliosides<o:p></o:p>
Glucose<o:p></o:p>
Galactose<o:p></o:p>
Sucre avec N-acétyl<o:p></o:p>
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<o:p> </o:p>
5) Protéoglycanes<o:p></o:p>
- Résultat d’une hétéropolymérisation (glucose oxydé + N-acétyl glucosamine)<o:p></o:p>
è Membrane basale permet communication dan la cellule<o:p></o:p>
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