• IRM

    IRM<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I)            Le contraste en IRM<o:p></o:p>

    ·      Définition<o:p></o:p>

    Le contraste en IRM c’est la différence de luminance entre deux structures<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·      Comment mesurer le contraste<o:p></o:p>

    Capture d’écran 2014-08-13 à 22.39.04

    Le contraste permet de voir la différence entre un tissu malin et un tissu sain.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·      Origine du contraste en IRM<o:p></o:p>

    Le contraste provient des signaux émis lors de la désexcitation.<o:p></o:p>

    Si l’image est blanche, on a un hypersignal<o:p></o:p>

    Si l’image est grise, on a un hyposignal <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·      Contraste IRM lié à la densité de proton ρ<o:p></o:p>

    C’est la densité de noyaux d’hydrogène qui est proportionnelle au pourcentage d’eau dans les tissus.<o:p></o:p>

    Plus le coefficient d’atténuation linéique est faible plus il y a d’eau dans les tissus<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·      Contraste IRM lié au paramètre de relaxation T1<o:p></o:p>

    Quand T1 est court è hypersignal<o:p></o:p>

    Quand T1 est long è hyposignal<o:p></o:p>

    Exemple : eau è T1 long<o:p></o:p>

                      Graisse è T1 court<o:p></o:p>

                      Solide è T1 intermédiaire, plutôt long<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·      Contraste IRM lié au paramètre de relaxation T2<o:p></o:p>

    Quand T2 est court è hyposignal<o:p></o:p>

    Quand T2 est long è hypersignal<o:p></o:p>

    Exemple : eau è T2 long<o:p></o:p>

                      Graisse è T2 court<o:p></o:p>

                      Solide è T2 court<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·      Résultats<o:p></o:p>

    L’IRM est très utilisé pour le cerveau<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II)         Les séquences en IRM<o:p></o:p>

    ·      Effet de la bascule π/2<o:p></o:p>

    Lors de la phase de relaxation, les projections vont devoir repartir à leur point de départ (avant le champ tournant), mais toutes les projections ne se retrouvent à leur position de départ avec la même vitesse.<o:p></o:p>

    Ainsi on obtient un signal très difficile à mesurer car il est trop court (signal de précession libre diminue)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·      Principe de l’écho de la séquence écho de spin et le signal de la séquence écho de spin<o:p></o:p>

    On effectue donc une bascule π, pour que toutes les projections se retrouve à leur point de départ avec la même vitesse.<o:p></o:p>

    Lorsque tous les protons sont en phase, on a alors une émission de signal qui est un écho.<o:p></o:p>

    Capture d’écran 2014-08-13 à 22.39.11

     

     

     

    TE = temps d’écho (temps entre bascule π/2 et l’écho)<o:p></o:p>

    TR = temps de répétition (temps entre deux bascules π/2)<o:p></o:p>

    τ = temps de déphasage (entre bascule π et l’écho)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :