• L.A Hugo « Ultima verba »

    Hugo<o:p></o:p>

    « Ultima verba »<o:p></o:p>

    Les châtiments<o:p></o:p>

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    Introduction<o:p></o:p>

    Poésie a plusieurs fonctions et permet aux auteurs de s’engager

    Ce texte est un testament moral et politique

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    I)             Une dénonciation violente de l’empereur et de son régime : « l’opprobre » jeté<o:p></o:p>

    1.    Le mépris pour le tyran<o:p></o:p>

    Hugo exprime son mépris envers napoléon III

    Il utilise l’ironie avec un scène qui est très visuelle è il dénonce la mégalomanie et la cruauté de Napoléon III

    Tout en l’évoquant il ne le nomme pas précisément è le renvoie au néant

    Les antithèses entre Louvre et cabanon forme une ironie satirique

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    2.    L’évocation du « personnel » qui entoure l’empereur<o:p></o:p>

    Les valets de napoléon III trahissent ce dernier et sont soumis à lui

    Le clergé est rejeté dans l’oubli et est puni

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    II)          Réflexion lyrique sur l’exil imposé, choisi et partagé : le ton change<o:p></o:p>

    1.    La proscription, thème central<o:p></o:p>

    -       Le ton religieux, la solennité à l’antique

    Le vocabulaire religieux est utilisé de la même façon que les apostrophes collective (sermons) et la république est personnifiée

    Les références à l’antiquitéè exil et bannissement sont repris et rappelé

    -       La relation avec les proscrits : vers un détachement progressif

    Ils ne font qu’un puis s’individualise è avec la distance la compréhension s’installe

    Le ils prône la partition, la division et l’absence è impersonnalité des proscrits

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    2.    Le lyrisme<o:p></o:p>

    Nostalgie è impression de douceur è

    Apostrophe triple de la France

    Ton plaintif + anaphore + répétition de mot/expressionè négation et manque

    Hugo fait des allusions personnelles et a des attitudes antique de réflexion, méditation

    Nostalgie è opposition de champ lexicaux è retour / fixité

    Nostalgie aussi par les rimes féminines

    Tout est basé sur l’annonce de ce que l’on ne va pas parler et que finalement on le fait

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    III)        La revendication théâtralisé de son identité : « Ego, Hugo »<o:p></o:p>

    1.    Une attitude théâtralisée<o:p></o:p>

    Le héros est romantique et est debout bras croisé et est comparé à des gardiens, des prophètes (Mardochée), un héros d’épopée (Achille), une statue de prophète, un imprécateur è de plus en plus immatériel et sublime

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    2.    L’apothéose : le final du spectacle dont il est le héros solitaire<o:p></o:p>

    Progression en gradation descendante

    Jeu sur les chiffres avec accélération è progrès mathématique

    Jeu sur le rythme

    Jeu sur le ton è style oral

    Jeu sur les rimes

    Jeu sur les sonorités

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    3.    Un être de parole : la force du « verbe »<o:p></o:p>

    Parole modifie les choses et a le pouvoir (perce les apparences et transforme le dort de chacun en revalorisant le vrai mérite) ; donne l’identité et la suprématie ; la détentrice du futur

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    Conclusion <o:p></o:p>

    Hugo parle avec son arme è les mots è il dit non et revendique ses opinions

    Il existe une bonne poésie engagée (celle qui n’est pas ancré dans les évènements) è c’est un poème qui est le chant de tout résistant, exilé è c’est une leçon de démocratie

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